|
SYNOPSIS
|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
L'un des principaux objectifs de Ben Affleck et du scénariste Aaron Stockard avec Gone Baby Gone était de garder intacte la complexité morale de chaque personnage du roman de Dennis Lehane. Ben Affleck explique : "L'histoire doit amener chacun à questionner sa conception du bien et du mal. Elle montre que bien agir peut avoir des conséquences néfastes et que des personnes proches et intelligentes peuvent sortir différemment d'un dilemme moral." Et son partenaire d'écriture Aaron Stockard d'ajouter : "Nous souhaitions tous deux que les spectateurs quittent la salle en discutant encore entre eux de la justesse des décisions des personnages."
Dans Gone Baby Gone, sa première réalisation, Ben Affleck donne le premier rôle à son frère cadet Casey, à qui il avait déjà donné la réplique à l'écran dans Will Hunting (1997), Méprise multiple (id.) et 200 Cigarettes (1999). De lui, il dit : "Je connais toutes ses mimiques. Je sais quand son jeu est naturel ou forcé. Je souhaitais le montrer sous son meilleur jour."
Pour Ben et Casey Affleck, originaires de Boston, l'expérience Gone Baby Gone a été particulière : l'action se déroule en effet dans les quartiers populaires de la cité du Massachusetts. Pour le premier, cela a directement influé dans sa décision de réaliser le film : "Je désirais depuis toujours réaliser un film. J'avais une vision très précise de l'histoire. Je pensais déjà à des endroits bien définis de Boston et aux habitants de certains quartiers populaires. Il m'a semblé préférable de me charger de la réalisation si je voulais vraiment voir l'histoire filmée sous un angle aussi authentique." Quant au cadet Casey, il a ainsi pu conférer une véritable authenticité au rôle, de par son vécu et les rencontres qu'il a effectuées avec les habitants durant la préparation du film.
Gone Baby Gone est l'adaptation cinématographique du roman éponyme de Dennis Lehane. C'est le seconde adaptation sur grand écran d'un livre de l'auteur américain après Mystic River, réalisé par Clint Eastwood en 2003.
|
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
LE JEU
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly