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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le 16 août 1999, l'équipe du film doit tourner une scène clé : celle où le taxi doit survoler les chars à la Porte Dauphine, qui met fin à la poursuite. Elle est réglée par Rémy Julienne, chef des cascades. Un lit de cartons est censé amortir la chute du taxi à l'endroit où il est censé atterrir. Après une première prise où le saut a été trop court, la deuxième tourne au drame : la voiture part 15 mètres trop loin et fauche Alain Dutartre, un caméraman de 41 ans, et son assistant de 26 ans, Jean-Michel Bar. Alain Dutartre décédera de la suite de ses blessures à l'hôpital Beaujon de Clichy, tandis que Jean-Michel bar s'en tire avec les deux jambes fracturées. Dans le film, la scène a été remplacée par des effets spéciaux.
Le procès a eu lieu en 2007 : Rémy Julienne a été condamné à 18 mois de prison avec sursis et à verser 13 000 euros d'amende. Peu satisfaite du verdict, la famille de la victime a fait appel et, en juin 2009, la société de production de Luc Besson, EuropaCorp, a été condamnée pour « homicide involontaire » à 100 000 euros d'amende. Rémy Julienne a bénéficié de l'indulgence des juges. Il a été condamné à 6 mois de prison avec sursis et 2 000 euros d'amende. Il devra également verser 60 000 euros de dommages et intérêts à la famille de la victime.
Durant le générique final du film, on peut voir apparaître à l'écran une mention À Alain Dutartre.
Le joystick utilisé par Daniel pour manœuvrer la voiture lorsqu'elle est en l'air est la copie de celui utilisé par Anakin Skywalker à la fin de La Menace fantôme.
Petra s'adresse à Émilien en lui disant « Votre sollicitude me touche beaucoup mon petit Émilien. », paraphrasant ainsi la réplique de Padmé Amidala au chancelier Valorum lors de son arrivée à la capitale : « Votre sollicitude me touche beaucoup Monsieur le chancelier. »
Lorsqu'il conduit la voiture du Premier ministre japonais, Daniel compare les méthodes de la police marseillaise au déroulement de la trilogie Star Wars.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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