ALIEN : COVENANT
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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le tournage de La Chute du faucon noir s'est avéré impossible en Somalie, aucun visa n'étant plus délivré pour ce pays. Après de longues recherches dans toute l'Afrique et sur les côtes méditerranéennes, c'est finalement au Maroc que le film est tourné pendant 92 jours, principalement à Rabat et dans la ville de Sale, située sur la côte atlantique du pays. C'est ainsi que Sidi Moussa, le quartier ouvrier de Sale, s'est transformé en centre ville de Mogadiscio. L'Avenue Nasser de la même ville a abrité le bâtiment cible de l'attaque américaine, construit à neuf. Enfin, un terrain d'aviation de l'armée de l'air marocaine près de Rabat a fait office de base militaire américaine.
Bien que centré sur les déboires de l'armée américaine, La Chute du faucon noir a mobilisé une équipe des plus internationales. Outre deux acteurs britanniques (Ewan McGregor et Jason Isaacs) et un australien (Eric Bana), l'équipe des cascadeurs était majoritairement composée de tchèques. Des croates, des canadiens, des français et des allemands étaient répartis dans différents département. Quant aux comédiens incarnant les guerriers somaliens, ils ont été choisis parmi les étudiants de Rabat, où se déroulait le tournage. Ils étaient originaires du Niger, du Burkina Faso, de Ghana, de la Sierra Leone, de l'Angola, de Djibouti, de Sénégal et du Congo.
C'est une habitude, pas de film de guerre sans entraînement intensif au préalable. Les acteurs de La Chute du faucon noir ont participé aux exercices des vrais soldats sur différentes bases militaires des Rangers, des forces spéciales et de la très secrète Delta Force. Au programme : technique de combat rapproché, cours sur l'histoire des Rangers, maniement de radios, d'armes automatiques et des fusils M16-A2.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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