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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
"Il n'existe dans Summer Of Sam aucun élément propre à choquer les parents, les proches des disparus. Je n'ai pas un seul instant tenté d'illustrer leur chagrin par des images, car rien ne me permettait d'éprouver ce qu'ils ont alors ressenti." Spike Lee
"Summer Of Sam évoque l'été 77 tel que les New-Yorkais l'ont vécu. Un été si chaud qu'il a entraîné une gigantesque panne d'électricité qui, elle-même, a entraîné le pillage des magasins (...). A cette époque, les Yankees volaient de victoire en victoire (...). 1977, c'était aussi le premier été du disco. La musique punk marchait fort aussi. Il existait alors des endroits comme le Studio 54 et le Plato's Retreat qui synthétisait tout ce qui se passait alors. Vraiment, de quoi nourrir une histoire géniale. "Spike Lee.
Tout en relatant un certain nombre d'événements survenus lors de l'été 77 à New-York, Summer Of Sam fait aussi référence à un célèbre tueur en série, David Berkowitz (surnommé Son of Sam). Il faut chercher l'origine de son surnom dans les tréfonds de l'une de ses obsessions... le chien de l'un de ses voisins (un certain Sam Carr).
A partir de 1975, David Berkowitz se sent persécuté par ce chien. Ses aboiements le terrifient à tel point qu'il les croit maléfiques. David Berkowitz pense alors qu'il est investi d'une mission, celle de tuer. A son actif, il compte douze victimes (entre le 29 Juillet 1976 et le 10 Août 1977). Le 12 juin 1978, le serial-killer est condamné à six peines de prison, soit 365 années de réclusion. |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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