MAN ON FIRE
|
|
SYNOPSIS
|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Ce film est adapté du roman L'Homme de feu d'A. J. Quinnell. A.J. Quinnell est le nom de plume d'un écrivain dont l'identité n'a jamais été révélée. Son héros, l'agent de la CIA John Creasy, apparaît également dans les ouvrages The Perfect kill, The Blue ring et Message from hell.
L'action des premières moutures de Brian Helgeland se déroulait, comme dans le roman de A. J. Quinnell, en Italie. Mais le producteur Lucas Foster et Tony Scott avaient deux objections majeures à cet égard : la Mafia est un sujet éculé et les enlèvements ont pratiquement cessé en Italie depuis l'instauration de nouvelles lois. Les recherches s'orientèrent alors vers le Brésil, le Guatemala et finalement le Mexique, où les kidnappings restent monnaie courante.
Pour conférer à Man on fire l'ambiance oppressante et l'impression réaliste souhaitées, l'équipe travailla principalement en décors naturels. Tourner à Mexico posa quantité de problèmes pratiques. Il fallut faire circuler chaque jour dans les rues étroites et encombrées de la ville plus de cinquante véhicules transportant acteurs, techniciens et matériel. En outre, les grèves générales sont un risque quasi permanent et la bureaucratie est d'une extrême lourdeur, chacun des 17 arrondissements de Mexico constituant un fief en soi. |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
L’HISTOIRE
|
LE JEU
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly