SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Ayant remarqué le jeune Leonardo DiCaprio dans Gilbert Grape de Lasse Hallström, Sharon Stone imposa le comédien dans le rôle du Kid, allant jusqu’à proposer à la production de payer elle-même la moitié du salaire de l’acteur. L’actrice affirme "J’aurais porté ce garçon sur mon dos jusque sur le plateau s’il avait fallu ! Je savais qu’il deviendrait l’un des meilleurs acteurs de ces dernières décennies. Son talent, son don sont hors du commun."
Mais Leonardo DiCaprio fut difficile à convaincre. En effet le jeune acteur choisissait ses rôles avec parcimonie, et refusa, dans un premier temps de jouer dans le film, qu’il jugeait "trop commercial". Mais finalement, alors qu’il ne lui restait plus qu’un jour pour rendre sa décision, le jeune homme accepta. Leonardo DiCaprio admit plus tard avoir accepté le rôle "parce qu’il n’avait pas travaillé pendant 1 an" et parce que son rôle n’était "pas celui de Billy le Kid mais d’un personnage vraiment différent."
Mort ou vif est le premier long métrage américain du comédien néo-zélandais Russell Crowe. Après avoir tourné dans quelques films australiens, parmi lesquels The Crossing, Proof et Romper Stomper, Sharon Stone le remarque et le choisit pour être l'un de ses partenaires dans le western de Sam Raimi, aux côtés de Gene Hackman et Leonardo DiCaprio. La comédienne a imposé son choix au studio de production, qui était au départ réticent à engager un acteur inconnu. Mais c’est son rôle dans L.A. Confidential de Curtis Hanson, en 1997 qui l’expose véritablement au grand public.
Mort ou Vif a été tourné à Mescal en Arizona sur le plateau construit pour le film Monte Walsh de William A. Fraker avec Lee Marvin et tourné en 1969. Ce plateau a été utilisé pour le tournage de plus de 50 westerns, parmi lesquels : Josey Wales hors la loi de Clint Eastwood, Tom Horn de William Wiard ou encore Juge et Hors-la-loi de John Huston.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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