​​IDENTITY
Nom Original   ​IDENTITY
​Réalisateur   JAMES MANGOLD
Date de sortie  24/09/2003
Durée   1h27
Genre   THRILLER
​Nationalité   AMERICAINE

Films Réalisés   5
dont
COPLAND (1997)

John Cusack
ED

Ray Liotta
RHODES

Amanda Peet
PARIS

Jack Busey
ROBERT MAINE

Alfred Molina
DR. MALICK

​​SYNOPSIS
Surpris par un orage, dix étrangers - une ancienne star de la télé et son chauffeur, un policier qui escorte un tueur, une call-girl, deux jeunes mariés, un couple avec un enfant - se retrouvent par hasard au Golden Palm Hotel, un motel situé en plein désert. Au cours de la nuit, ils se font assassiner les uns après les autres. Pour les survivants, c'est le début d'un terrible cauchemar, chacun soupçonnant l'autre.

VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Pour créer une ambiance d'oppression, James Mangold a collaboré pour la seconde fois (après Kate & Leopold) avec Mark Friedberg. Celui-ci explique : "Ma première tâche a consisté à rendre ce décor suffisamment captivant pour retenir l'attention du public pendant toute la durée du film."

Le motel du film a été construit intégralement sur le plateau 27, le deuxième plus grand des studios Sony Pictures de Culver City. C'est un extérieur situé dans le désert californien, à une trentaine de kilomètres à l'est de Palmdale qui a été utilisé pour les scènes de conduite et les plans d'introduction. Etant donné que la majorité du film se déroule la nuit au coeur d'une tempête, James Mangold et Cathy Konrad ont pensé qu'il serait plus facile de contrôler l'environnement en tournant en studio.

La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
La durée du film relativement courte laissait présager … un film trop court, ou un scénario trop faible. Ce sera la seconde option. Le scénario largement inspiré du roman « Les 10 petits nègres »  d’Agatha Christie, n’offre qu’un semblant de réel suspense. Au final, on s’ennuie, et on est profondément déçu par la chute, celle de la toute fin, qui gâche tout bonnement le semblant de positif qui avait pu se dégager de cette intrigue.
LA NOTE : 5/10

L’HISTOIRE
Le début de l’histoire est intéressant. On bloque rapidement une dizaine de personnes dans un motel miteux, pendant une véritable tempête ce qui laisse le temps à un tueur mystérieux de les supprimer les uns après les autres. Sauf que rapidement le film devient inintéressant, et le scénario semble n’avoir ni queue ni tête. On se dit que peut importe qui est le criminel, le film est médiocre. 
​LA NOTE : 5/10 

LE JEU
Les acteurs sont corrects. Au vu de la qualité du scénario, on ne peut pas leur en demander plus. John Cusack et Ray Liotta font office de stars et font le job. Amanda Peet et les autres protagonistes montrent les faiblesses habituelles d’acteurs moyens sur un film moyen.
​​LA NOTE : 6/10 

LE RYTHME & LA MUSIQUE
Le film ne dure qu’1h27 et on comprend pourquoi. Le scénario est déjà assez faible pour qu’on n’en ajoute pas plus. Une fois l’intrigue mise en place, on s’ennuie. C’est simple. 
LA NOTE : 5/10 

C’est le grand Alan Silvestri qui signe une bande son convenable. Les sonorités sont bien entendues très mystérieuses et oppressante pour coller avec le thème. Dommage que l’histoire ne suive pas.
LA NOTE : 6/10 

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
Les décors sont ce qu’il y a de plus satisfaisant dans le film. Le motel qui fait office de décor principal est réussi et parfait pour un thriller sanguinaire. Avec la pluie qui ne cesse de tomber, le petit motel du bord de route est d’un glauque parfaitement adapté.
 LA NOTE : 7/10 

Les effets spéciaux sont corrects, mais sans plus. On aurait pu attendre un peu mieux pour relever le niveau du film. On se contentera de ça et on oubliera vite ce thriller plus ou moins râté.
LA NOTE : 6/10 

La note de sevenart  5.7 / 10

IMDB   7.3 / 10
Rotten Tomatoes   6.4 / 10
AlloCiné   7.2 / 10
Metacritic   6.4 / 10
Comme au Cinéma  10 / 10
Sens Critique   6.5 / 10
Avoir à Lire   5.0 / 10
Ecran Large   7..0 / 10
​
​La moyenne sans 7  7.0 / 10

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Et n’oublions jamais que 
«  Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN