|
SYNOPSIS
|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Au cinéma, deux acteurs français ont prêté leurs traits à Jules Bonnot : Bruno Cremer dans La Bande à Bonnot de Philippe Fourastié en 1968 et Jacques Gamblin dans l’adaptation de la série télévisée Les Brigades du Tigre en 2006.
Sur les conseils de Célestin Hennion, alors directeur de la Sûreté générale, le ministre de l'intérieur Clemenceau, dit "Le Tigre" créa, en 1907, douze brigades régionales de police mobile : "Les Brigades du Tigre". L'enjeu était de taille : contrer la violence et le banditisme qui saignaient la France jusque dans ses campagnes. Les mobilards se devaient d'être l'élite et la fierté d'une police nationale qui s'adaptait à son époque. Ils étaient entraînés en conséquence et recevaient une formation des plus exigeantes : maîtrise de différentes techniques de combat, tir au pistolet, savate, maniement de la canne, rien ne devait leur échapper. Ils bénéficiaient également des dernières technologies dans leurs méthodes d'investigation et pouvaient compter sur les débuts de la police scientifique. Ils optimisaient ainsi leur travail à l'aide de portrait-robots, empreintes digitales et autopsie. Sur le terrain, leur vitesse, leur précision et leur réactivité étaient décuplées par l'usage de la voiture. Les résultats étaient à la hauteur des moyens alloués : début 1909, les "Brigades du Tigre" comptabilisaient 2 500 arrestations sur le territoire français.
Les Brigades du Tigre n'est autre que l'adaptation de la célèbre série qui vit le jour en 1974 sur Antenne 2. Créé par Claude Desailly, ce feuilleton était un fascinant voyage dans le temps, dans la France du début du XXème siècle, à travers les enquêtes des inspecteurs Valentin (Jean-Claude Bouillon), Terrasson (Pierre Maguelon) et Pujol (Jean-Paul Tribout). Si la série fait partie du patrimoine télévisuel français depuis son arrêt en 1983, la musique de son générique est elle aussi passée à la postérité grâce au thème au piano composé par Claude Bolling.
|
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
L’HISTOIRE
|
LE JEU
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly