​QUATRE ETOILE
Nom Original   ​QUATRE ETOILE
Réalisateur   CHRISTIAN VINCENT
Date de sortie  03/05/2006
Durée   1h46
Genre   COMÉDIE
​Nationalité   FRANÇAISE

Films Réalisés   8

José Garcia
STEPHEN LACHESNAYE

Isabelle Carré
FRANCE DUMANOIR

François Cluzet
RENÉ

Jean-Paul Bonnaire
JACKY MORESTEL

Michel Vuillermoz
MARC

SYNOPSIS
Quatre étoiles est une histoire d'argent, donc de sentiments. C'est l'histoire d'une fille qui hérite de 50 000 euros dont elle ne sait pas trop quoi faire. C'est encombrant, l'argent. Ca vous attache, comme les sentiments. Elle décide alors de les dépenser en filant sur la Côte d'Azur. C'est au Carlton qu'elle tombe sur Stéphane. Lui, c'est l'argent des autres qui l'intéresse. Stéphane va en vouloir à l'argent de Franssou. La demoiselle ne va pas se laisser faire.  

​VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?

Avec son foulard dans les cheveux, Isabelle Carré peut rappeler Grace Kelly. Christian Vincent confie d'ailleurs qu'il a tenu à revoir La Main au collet d'Hitchcock dont l'action se situe, comme Quatre étoiles, sur la Côte d'Azur.
Très présente dans le film, la musique a été composée par André Manoukian, connu notamment pour avoir composé les premiers tubes de Liane Foly comme Au fur et à mesure. Après une formation de jazzman, il a collaboré avec des artistes de variétés tels qu'Aznavour ou Bécaud. Sa notoriété a fait un bond lorsqu'il est devenu juré dans l'émission de télé-réalité "Nouvelle star". Quatre étoiles marque sa deuxième incursion dans le Septième Art après Les Ténors en 1993. Depuis, il a composé la BO d'un film interprété par une vedette de la chanson : Jean-Philippe avec Johnny Hallyday (également produit par Fidélité).

La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
Le film n’a 4 étoiles que dans le nom et dans le palace qui sert de décor principal car il s’avère très médiocre. Entre la romance d’une rare pauvreté qui sert de fil rouge, et la naïveté agaçante d’Isabelle Carré qui n’a d’égal que l’égo surdimensionné de José Garcia : on est servi !!
​LA NOTE : 4/10

L’HISTOIRE
Le jeu du chat et de la souris auquel se livrent José Garcia et Isabelle Carré devient vite insupportable et ennuyeux. Le problème c’est que le film ne tient que sur cela, ce qui est un peu maigre. C’est comme miser toutes ses économies sur un cheval fatigué en espérant un miracle au départ d’une course. Le résultat est souvent le même : pathétique.
LA NOTE : 2/10 

LE JEU
José Garcia fait du José Garcia : excentrique, volubile, il est partout et comme il n’y a pas de vrai scénario, on compte sur lui pour occuper l’espace et amuser la galerie. Résultat, il est fatiguant. A ses côtés, Isabelle Carré joue une nouvelle fois une belle et jeune femme fragile et abusée, crédule, fragile. Elle est elle aussi, à la longue, fatigante. Et on ne parlera pas des autres personnages, notamment celui de François Cluzet. Il ne vaut mieux pas…  
LA NOTE : 5/10 

LE RYTHME & LA MUSIQUE
1h46 pour pas grand-chose au final. On tourne en rond pendant près d’1h30 et il ne se passe pas grand-chose. Le film pourrait facilement se résumer en un épisode de Plus Belle la Vie, soit 25 minutes !!
LA NOTE : 4/10 

La musique est signée André Manoukian. Aussi pauvre que le film. Il faudra un tube d’Elton John à la fin du film pour se rendre compte qu’il y avait de la musique. La BO n’apporte rien à un film qui ne la méritait de toute façon pas vraiment. 
​LA NOTE : 4/10 

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
Un beau palace sur la côte d’azur, ce n’est pas si mal. On sent que tout le budget a été mis là dessus. On a posé les caméras dans le hall de l’hôtel et dans une suite alors il faut rentabiliser. Les décors sont relativement bon, et presque au niveau d’un 4 étoiles.
LA NOTE : 6/10 

Pas d'effets spéciaux.
​​​LA NOTE : N/A

La note de sevenart  4.2 / 10

IMDB   5.5 / 10
Rotten Tomatoes   - / 10
AlloCiné   4.6 / 10
Metacritic   - / 10
Vodkaster Télérama  1.9 / 10
Sens Critique   5.0 / 10
Avoir à Lire   5.0 / 10
Ecran Large   8.0 / 10
​
​La moyenne sans 7  5.0 / 10

critique précédente

menu année

critique suivante
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit. 

Et n’oublions jamais que 
«  Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN