​CODE MERCURY
Nom Original   ​MERCURY RISING
Réalisateur   HAROLD BECKER
Date de sortie  06/05/1998
Durée   1h50
Genre   POLICIER
​Nationalité   AMÉRICAINE

Films Réalisés 11

Bruce Willis
ART JEFFRIES

Alec Baldwin
NICK KUDROW

Chi McBride
TOMMY B. JORDAN

Miko Hughes
SIMON LYNCH

John Carroll Lynch
MARTIN LYNCH

​SYNOPSIS
Simon, garconnet autiste de neuf ans, mais un petit génie par son aptitude a résoudre les puzzles les plus complexes, décrypte fortuitement le code Mercury, mis au point par le lieutenant-colonel Kudrow de la NSA pour assurer la protection des agents infiltrés. L'ambitieux Kudrow, qui a misé sa réputation sur ce projet, est decidé à le sauver à n'importe quel prix. Après avoir liquidé les parents de Simon et les concepteurs du code, il n'hésitera pas a supprimer le garconnet. 

VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le vin qu'Art ouvre dans le sous-sol de Kudrow est Chateau Petrus de Pomerol (identifiable par le sceau rouge en bas à gauche de l'étiquette), est probablement le vin rouge bordelais le plus cher, et contrairement à Art dans le film, même jeune Petrus coûte beaucoup plus que 75 dollars par bouteille.

L'acteur Miko Hughes a passé du temps avec de nombreux enfants autistes dans une école spéciale. Il a également travaillé avec un psychologue pour enfants de Chicago pour comprendre comment dépeindre un enfant autiste.
Alec Baldwin est apparu dans ce film en raison d'une obligation contractuelle envers Universal Pictures. Baldwin avait précédemment renoncé à un film pour Universal et a signé un accord promettant au studio un autre film. Des années plus tard, ce film lui a été présenté et il l'a fait pour éviter d'autres litiges.

La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
Un début d’idée qui aurait pu être prometteur, mais un film qui tombe vite dans le néant. Bruce Willis ne peut pas grand-chose ni aucun des acteurs largement sous utilisés non plus d’ailleurs. On ne comprend pas grand-chose à cette histoire de code, et surtout on ne comprend pas pourquoi vouloir à tout pris tuer cet enfant totalement inoffensif. Ca n’a pas de sens.
​​​LA NOTE : 4/10

L’HISTOIRE
Le scénario est raté. Il n’y a pas d’autres mots. Une idée de base qui aurait pu permettre de faire un bon polar, mais on ne la traite pas du tout. L’histoire n’a pas de sens, n’a pas de logique… Après une demi heure il ne se passe absolument rien pendant près d’une heure !! 
​LA NOTE : 3/10 

LE JEU
Bruce Willis fait du Bruce Willis bas de gamme et on ne peut pas lui en vouloir tant le scénario est inexistant. A ses côtés on retrouve quelques bons seconds rôles complètement ignorés : Peter Stromare et John Carroll Lynch. On lit dans les yeux de Baldwin qu’il se demande bien ce qu’il fout là et son personnage est le plus incompréhensible. Pourquoi risquer sa carrière et finalement mourir pour tuer un enfant autiste qui ne sait pas ce qu’il fait ? 
​​​LA NOTE : 4/10 

LE RYTHME & LA MUSIQUE
1h50 d’un film sans scénario ça donne des longueurs et de l’ennui. L’histoire aurait pu se réduire à un court métrage de 30 minutes et encore, il aurait également été ennuyant !
LA NOTE : 3/10 

La musique du film est signée John Barry & Carter Burwell. Le film bénéficie de son propre thème, ce qui est plutôt bien, d’autant que ce thème est bien trouvé. Mais le problème c’est que dans la première partie du film il est beaucoup utilisé, cela devient donc rapidement répétitif. Heureusement la fin du film est plus diversifiée musicalement.
LA NOTE : 7/10 

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
Les décors sont également inintéressants. On traverse les scènes sans les voir. Rien, il n’y a vraiment rien à garder dans ce film.
LA NOTE : 4/10 

Les effets spéciaux sont convenables mais mis au service d’un mauvais film.
LA NOTE : 7/10 

La note de sevenart  4.6 / 10

IMDB   6.1 / 10
Rotten Tomatoes  4.2 / 10
AlloCiné   5.4 / 10
Metacritic   3.7 / 10
Comme au Cinéma  7.5 / 10
Sens Critique   5.5 / 10
Avoir à Lire   - / 10
Ecran Large   3.0 / 10
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​La moyenne sans 7  5.1 / 10

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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit. 

Et n’oublions jamais que 
«  Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN