|
SYNOPSIS
|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le spécialiste de reptiles Jules Sylvester explique que pour minimiser le danger sur le tournage de Des serpents dans l'avion, il a quelque peu triché : "La seule manière de tourner un film comme celui-ci est d'utiliser des "doublures", des serpents qui ressemblent de très près aux espèces que l'on souhaite. Par exemple, le lampropeltis est relativement inoffensif, mais à moins d'être un herpétologiste chevronné, il ressemble trait pour trait au serpent corail brésilien qui lui, est mortel. Les couleurs sont identiques, la taille aussi. Souvent, la seule défense d'un serpent est d'adopter le motif, les couleurs ou le comportement d'une espèce beaucoup plus dangereuse. Un autre bon exemple est le serpent des poulaillers. Lui n'a pas de sonnette à l'extrémité de la queue, mais il secoue la queue dans des couches de feuilles mortes... Le bruit ressemble à celui que produit le crotale, alors forcément, vous vous tenez à distance... Tout est une question d'illusion !"
La production de Des serpents dans l'avion a fait appel à deux spécialistes de reptiles, Jules Sylvester et Brad McDonald. Le premier raconte que le producteur et le réalisateur du film avaient des ambitions pour le moins dangereuses : "Lorsque j'ai rencontré Craig Berenson et David R. Ellis pour la première fois, ils voulaient tourner avec des vipères, des taïpans, tout un assortiment des espèces les plus mortelles de la planète. Je leur ai dit que rassembler sur un plateau des serpents venimeux, plein de comédiens et une équipe caméra au grand complet ne serait peut-être pas une très bonne idée... Ce sont des animaux redoutables, qui n'obéissent qu'à leur instinct ou à leur estomac ! On aurait pu les utiliser à la rigueur pour les prises de vues avec la deuxième équipe, mais autrement, le danger était vraiment trop grand." Les deux hommes ont alors suggéré d'utiliser des serpents moins dangereux pour les besoins du long-métrage.
La production de Des serpents dans l'avion a du commander près de 450 serpents pour les besoins du long-métrage.
|
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
L’HISTOIRE
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly