​ROCKY 5
Nom Original   ​ROCKY V
Réalisateur   JOHN G. AVILDSEN
Date de sortie  19/12/1990
Durée   1h51
Genre   DRAME
​Nationalité   AMERICAINE

Films Réalisés 21
dont
ROCKY (1977)
KARATE KID (1984)
KARATE KID : LE MOMENT DE VERITE 2 (1986)
KARATE KID 3 (1989)

Sylvester Stallone
ROCKY BALBOA

Talia Shire
ADRIAN PENNINO

Burt Young
PAULIE PENNINO

Tommy Morrison
TOMMY "THE MACHINE" GUNN

Sage Stallone
ROCKY BALBOA JUNIOR


​SYNOPSIS
Des séquelles physiques irréversibles amènent Rocky Balboa à prendre sa retraite. Ruiné, il devient l'entraîneur d'un champion en devenir, Tommy Gunn. Mais celui-ci ne va pas rester insensible à l'appât du gain et va quitter Rocky pour rejoindre les rangs d'un coach plus fortuné.

VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
C'est la deuxième fois que le fils de Rocky est incarné par un des fils de Stallone : dans Rocky 2, le frère cadet de Sage, Seargeoh, incarnait ce rôle, étant encore bébé. Sage Stallone a ensuite pris la relève dans le 5e épisode.
La scène-flashback où apparait Mickey a été filmée à la limite du Noir et blanc et sous une lumière brillante, probablement pour éviter un anachronisme. En effet la scène est censée se passer peu avant le premier grand combat de Rocky contre Apollo Creed tandis que l'acteur Burgess Meredith a bien vieilli depuis le troisième film.

C’est marrant comme les films de cette série suivent exactement la trajectoire de son héro. Et là on arrive au fond. Rocky Balboa est ruiné. Ce 5ème volet réduit Rocky à se battre dans la rue. La saga semble à bout de souffle et l’histoire manque cruellement d’imagination. Une idée de base mais pas de développement. Rien. L’inspiration semble manquer. Il est temps d’arrêter. Les acteurs s’ennuient. 

La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
C’est marrant comme les films de cette série suivent exactement la trajectoire de son héro. Et là on arrive au fond. Rocky Balboa est ruiné. Ce 5ème volet réduit Rocky à se battre dans la rue. La saga semble à bout de souffle et l’histoire manque cruellement d’imagination. Une idée de base mais pas de développement. Rien. L’inspiration semble manquer. Il est temps d’arrêter. Les acteurs s’ennuient. 
​​LA NOTE : 5/10

L’HISTOIRE
Rocky Balboa raccroche les gants suite à un avis médical assez négatif à son sujet. Son dernier combat lui a laissé quelques lésions irréversibles. Malheureusement suite à une malversation, il se retrouve ruiné. Mais le hasard va mettre sur son chemin un jeune pétri de talent qui va le remettre en selle. Une idée de base pas si mal, et puis plus rien. L’idée est survolée. Même Sly le scénariste ne semble pas y croire tant que ça. 
​​ ​LA NOTE : 4/10 

LE JEU
Alors avec une histoire comme ça, on ne peut pas attendre des performances inoubliables. Sly fait du Sly, et son fils dans la vie joue son fils à l’écran. Et il s’en sort pas mal. Talia Shire sort toujours du lot par ses qualités d’acteur. Burt Young en revanche ne s’arrange pas en vieillissant. Et on ne va pas parler de Tommy Morrison qui, en tant que boxeur pro, est bien entendu meilleur boxeur qu’acteur. 
​LA NOTE : 5/10 

LE RYTHME & LA MUSIQUE
Le film dure 1h51. Pas vraiment de longueur mais les faiblesses de l’histoire font qu’on s’attend systématiquement à ce qui va se passer. Avant aussi vous allez me dire, mais au moins on vibrait en un tantinet alors que là, non. 
LA NOTE : 6/10 

Les musiques ne sont pas non plus une réussite. On est loin  du thème principal de la saga ou de The Survivor, malgré la présence d’Elton John.
​​​LA NOTE : 6/10 

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
Les décors ne sont également pas très marquants. A part les prises de vues de Russie pendant l’entrainement de Rocky, les grands espaces enneigés et les montagnes soviétiques, le reste est bien sobre.
LA NOTE : 6/10 

Les effets sont corrects. Ils concernent comme d’habitude les blessures de combat, même si la technologie vient progressivement s’inviter dans le film. 
​ ​LA NOTE : 7/10 

La note de sevenart  5.6 / 10

IMDB   5.1 / 10
Rotten Tomatoes   4.1 / 10
AlloCiné   4.4 / 10
Metacritic   5.5 / 10
Comme au Cinéma  7.5 / 10
Sens Critique   4.4 / 10
Avoir à Lire   2.5 / 10
Ecran Large   - / 10
​
​La moyenne sans 7  4.2 / 10

menu année
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit. 

Et n’oublions jamais que 
«  Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN