L’INTERPRÈTE
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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Sydney Pollack a souvent abordé le thriller politique ou mettant en jeu de puissantes organisations, comme la CIA dans Les Trois jours du Condor, les médias dans Absence de Malice ou encore une grosse compagnie dans La Firme. Pour lui L'Interprète avait la force, la complexité et l'authenticité émotionnelle d'un thriller politique de notre époque.
Chacun des membres de l'équipe, des stars aux figurants, devait porter des badges d'identification spéciaux et franchir plusieurs postes de sécurité chaque jour. Le matériel de tournage était régulièrement inspecté par des chiens renifleurs d'explosifs. Et pour ne pas perturber les activités de l'organisation, l'équipe ne pouvait tourner les scènes à l'intérieur des bâtiments de l'ONU que le soir et le week-end. La chef costumière avait effectué ses propres recherches en rôdant dans les couloirs de l'ONU, prenant des notes et dessinant des croquis. Mais pour des raisons de sécurité, l'ONU a demandé à la production de ne pas reproduire exactement les uniformes des employés pour des raisons de sécurité !
Nicole Kidman du quitter le plateau de L'interprète à plusieurs reprises pour retourner sur celui de Et l'homme créa la femme. En effet après des projections test qui se sont révélées désastreuses, les producteurs du film ont considérés qu'il était nécessaire de refaire certaines séquences.
L'Interprète est le premier film de l'histoire du cinéma à avoir été tourné au siège de l'ONU à New York.
Alors qu' Alfred Hitchcock n'avait pas réussi à obtenir l'autorisation pour La Mort aux trousses, Sydney Pollack parvint à convaincre le Sous-secrétaire Général pour la Communication et l'Information publique, Shashi Tharoor. Celui-ci explique "J'ai pensé qu'il était temps de moderniser nos anciénnes habitudes [...] les Nations-Unis sont une institution qu'il faut démythifier un peu. Nous sommes un groupement de gouvernements, mais nous travaillons pour les peuples du monde, et il est important de rendre l'ONU plus accessible." |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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