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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Il se cache derrière les faux-semblants de ce meilleur ami qui aurait bien voulu être autre chose que le témoin du mariage de celle qu'il aime.
Pour ce veuf et son beau-fils, pour cette jeune femme qui adore son collègue, l'amour est l'enjeu, le but, mais également la source d'innombrables complications.
En cette veille de Noël à Londres, ces vies et ces amours vont se croiser, se frôler et se confronter...
Contrairement à ses précédents longs-métrages, Richard Curtis se propose, avec Love actually, d'évoquer le destin amoureux d'une vingtaine de personnages principaux au travers de plusieurs histoires s'entrecroisant au fil du récit. Le réalisateur explique avoir voulu rendre compte que "dans une même seconde se côtoient le sublime et le ridicule, la confiance et la trahison. Au moment où vous êtes fou de bonheur, ailleurs, quelqu'un d'autre désespère. Tous ces moments sont autant de notes qui font la partition du monde, sa musique et sa vie."
L'une des chansons principales de Love actually, intitulée Christmas is all around et interprétée à l'écran par l'acteur Bill Nighy, n'est pas étrangère à l'univers de Richard Curtis. Il s'agit en effet d'une version revisitée de Love is all around, tube du groupe écossais Wet Wet Wet et chanson phare de Quatre mariages et un enterrement, écrit par ses soins en 1994.
Le tournage de Love actually s'est déroulé en grande partie à Londres mais, une première pour Richard Curtis, ailleurs en Europe. C'est ainsi que l'équipe du film s'est également rendu à Marseille pour tourner quelques scènes avec Colin Firth. Une expérience dans le Sud de la France qui a beaucoup plu au réalisateur britannique. "Après une semaine de tournage à Marseille, avec ses superbes paysages et ses restaurants chaleureux, j'ai compris que j'avais commis une terrible erreur de ne rester tourner qu'en Angleterre ! Désormais, je ne tournerai jamais plus près de Londres que le Maroc..."
L'amour est partout, imprévisible, inexplicable, insurmontable. Il frappe quand il veut et souvent, ça fait pas mal de dégâts...
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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