​GOLDENEYE
Nom Original   ​GOLDENEYE
Réalisateur   MARTIN CAMPBELL
Date de sortie  20/12/1995
Durée   2h10
Genre   ESPIONNAGE
​Nationalité   ANGLAISE

Films Réalisés  6
dont
LA LOI CRIMINELLE (1989)

Pierce Brosnan
JAMES BOND

Sean Bean
ALEC TRAVALYAN

Famke Janssen
XENIA ZIRGAVNIA ONATOPP

Izabella Scorupco
NATALYA SIMONOVA

Tchéky Karyo
DIMITRI MISHKIN


​SYNOPSIS
James Bond est chargé par le MI6 de retrouver le Goldeneye, un satellite russe volé par des mercenaires, dont la puissance de frappe pourrait rayer de la carte n'importe quelle capitale. Sur les traces des responsables, l'agent 007 se rend aux quatre coins du monde avant de retrouver sur son chemin une vieille connaissance. Entre sa mission et ses sentiments personnels, l'agent secret se voit dans l'obligation de faire un choix.

​VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le réalisateur Martin Campbell est l'un des cyclistes renversés au début du film.
Le nom du cheval de la statue qui atterrit sur le toit du Tank à Saint-Pétersbourg est Pegasus. Pegasus est aussi le nom d'un cheval de course de Max Zorin dans Dangereusement vôtre (1985).


Joe Don Baker qui joue l'agent de la CIA Jack Wade, avait joué le méchant, Brad Whittaker, dans Tuer n'est pas jouer (1987).

La chanteuse qui massacre la chanson de Tammy Wynette, Stand By Your Man, dans le night-club de Zukovsky est interprétée par la jeune Minnie Driver.
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La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
Pour la première de Pierce Brosnan on peut dire qu’il est servi par une très bonne histoire. Le scénario est simple et travaillé. Il reste accessible au spectateur, qui peut capter tous les détails. Au programme, trahison, guerre froide, bataille numérique, nouveau Bond, nouvelle M… Dans Goldeneye, Bond traque un méchant qui reste mystérieux jusqu’à la dernière partie du film. Finalement il n’est pas si inconnu que cela pour 007. Les James Bond girl sont intrigantes. L’une ne se laisse pas faire et commande Bond, l’autre le maltraite quelque peu. Le tout est véritablement original et bien pensé pour redonner un coup de fouet et de jeune à la série qui s’enlisait un peu. L’an 2000 approchant, il fallait du renouveau. De même, la scène finale sur la parabole amphibie est digne des meilleures scènes de la série. Le duel entre Bond et Trevelyan est épique. Une fin grandiose sans entrer dans le n’importe quoi.
​​LA NOTE : 8/10

L’HISTOIRE
L’histoire est véritablement l’une des meilleures de la série. En effet, l’introduction est choc avec une mission conjointe entre 007 et 006 qui se solde par la réussite de la mission mais par le décès de 006. En revanche l’échappée de Bond en avion en le rattrapant en plein vol est limite crédible. Plusieurs petites scénettes disséminées dans le film apportent de la fraicheur à l’image de la rencontre entre Bond et Jake Wade et les codes entre agents à Saint Petersbourg. De même, les James Bond girl sont très travaillées et Natalya tient dans cette histoire un discours assez profond. Elle n’hésite pas à dire à Bond ce qu’elle pense, en l’occurrence qu’il sème la mort partout où il va, et qu’il n’est que violence et vengeance. De même on sent que Bond est affecté par la mort de son ami 006. Les sentiments de l’agent secret sont assez développés. On sent que les détails ont été soignés. On retrouvera cette psychologie dans les épisodes craigiens.
​ ​LA NOTE : 9/10 

LE JEU
Judith Dench apporte du renouveau en réinterprétant un M plus dur, plus direct, sans toutes les formes que prenait Bernard Lee avec son agent ingérable. Elle ne l’aime pas et le lui dit, mais professionnellement elle souhaite qu’il réussisse. Le personnage de Xenia Onatopp est assez sympathique et original, on y retrouve un peu de Grace Jones dans sa force physique. Dans l’ensemble le jeu d’acteur est bon, notamment celui de Pierce Brosnan qui découvre le rôle. Il présente un Bond plus sympathique que Dalton, plus alerte que Connery et plus athlétique que Moore. L’énorme point noir est véritablement le jeu d’Alan Cumming (Boris Grishenko) qui est particulièrement mauvais. On a rarement vu pire et on espère ne pas le voir.
​​LA NOTE : 7/10 

LE RYTHME & LA MUSIQUE
Le rythme est toujours aussi fluide, notamment parce que le scénario est très compréhensible. L’histoire se déroule simplement et c’est loin d’être le cas dans tous les épisodes qui ont parfois tendance à aller trop vite.
LA NOTE : 7/10 

Le film bénéficie d’une BO très efficace avec le Goldeneye de Tina Turner qui rappelle les très bons génériques des années 60 – 70, au début de la saga. Pour le reste des bandes sons, il y a du bon et du moins bon, comme souvent. Malheureusement.
​LA NOTE : 7/10 

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
Pour cet épisode, on voyage en Union Soviétique à plusieurs reprises (Arkhangelsk, Saint Petersbourg et Severnaya) puis dans le sud de la France et Monaco. Mais le lieu le plus marquant du film reste Cuba et son antenne satellite en pleine jungle. Un décor parfait pour un final épique.
LA NOTE : 7/10 

Les effets spéciaux continuent de progresser rapidement. On a véritablement quitté les années 80 et  ses imperfections, pour entrer dans une nouvelle ère.
​LA NOTE : 7/10 

La note de sevenart  7.5 / 10

IMDB   7.2 / 10
Rotten Tomatoes   7.0 / 10
AlloCiné   7.2 / 10
Metacritic   6.5 / 10
Comme au Cinéma  7.5 / 10
Sens Critique   6.5 / 10
Avoir à Lire   5.0 / 10
Ecran Large   8.0 / 10
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​La moyenne sans 7  6.7 / 10

menu année
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«  Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN