SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Quand Gilbert Melki a un problème avec sa télévision, on peut apercevoir un petit extrait de Raï, film également réalisé par Thomas Gilou juste avant La Vérité si je mens !.
À l'origine, le scénario du film devait être issu du livre écrit par Michel Munz, Rock Casher, roman sur les Séfarades du Sentier vu par un pianiste ashkénaze, sorti en 1988. À travers la société Vertigo, les producteurs Aïssa Djabri, Farid Lahouassa et Manuel Munz (aucun lien de parenté avec Michel) prennent une option sur le livre. Mais, faute d'argent, le film ne verra jamais le jour.
En 1993, Michel Munz travaille désormais avec Gérard Bitton, devenu son coscénariste et ami. L'idée de transposer Rock Casher est abandonnée, mais pas celle d'écrire une comédie sur les juifs du Sentier. Un producteur est intéressé mais abandonne par la suite. « À l'époque, se souvient Gérard Bitton, parler de la communauté juive de cette façon brisait des tabous : volonté de gagner de l'argent, le cul… ». Il est décidé que le personnage principal du film serait inspiré des débuts de Mehmood Bhatti à Paris.
En 1995, retour à la société Vertigo et le trio de producteurs est pris au sérieux, grâce au succès du Péril jeune de Cédric Klapisch. Il a également produit Raï, de Thomas Gilou, à qui il confie la réalisation de La vérite si je mens. « On aime son souci du réalisme », dit Aïssa Djabri.
Le rôle d'Eddie était à l'origine dévolu à Bruno Solo, alors pas assez connu au goût des producteurs. À sa place est pressenti Guillaume Depardieu, bientôt victime d'un accident de moto, puis Antoine de Caunes, qui préfère jouer dans La Divine Poursuite de Michel Deville. Il est aussi proposé à Albert Dupontel quand Richard Anconina, à qui est proposée une participation en guest star, demande à interpréter Eddie et obtient le rôle.
Le réalisateur avait proposé à Yvan Attal d'y participer mais ce dernier a refusé. Le réalisateur avait aussi proposé à Dominique Farrugia et Jean-Pierre Bacri des rôles, mais ils ont tous deux également refusé, trouvant les rôles trop caricaturaux.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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