PIRATES DES CARAÏBES : LE SECRET DU COFFRE MAUDIT
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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le film Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit se nourrit essentiellement des mythes pirates, tournant autour des trésors et des mystères de la mer. On y croise ainsi un personnage surnaturel, Davy Jones, et le légendaire monstre marin, Kraken, connu dans les légendes depuis le 12ème siècle. Le scénariste Ted Elliott précise : "Il existe énormément d'histoires surnaturelles liées à la mer et personne ne les avait jamais reliées à un grand film de pirates ou à un film de cape et d'épée. Nous y faisions allusion dans le premier film, par une réplique dans laquelle Will parle de se retrouver dans les griffes de Davy Jones. Dans Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit, nous avons décidé d'explorer ce Davy Jones, de découvrir qui il est. Nous avons aussi intégré une autre légende des mers très connue, celle du vaisseau fantôme, le Hollandais Volant, et nous avons combiné les deux."
Seul élément historique inséré dans le scénario de Ted Elliott et Terry Rossio, la Compagnie anglaise des Indes Orientales était l'une des plus grandes puissances économiques et politiques de l'époque. Cette dernière était utilisée comme outil de domination impérialiste, économique et politique de 1600 à sa dissolution en 1858. En plus d'avoir la mainmise sur l'Inde, ses comptoirs s'étendaient jusqu'aux confins du Golfe Persique, de l'Asie du Sud-Est et de l'Asie Orientale. La Compagnie était réputée pour ces activités incroyablement avides et inhumaines. Cette réalité est ici utilisée comme un tremplin pour l'humour et la fantaisie présentent dans le film : "Ce que l'on aime chez les pirates, c'est qu'ils incarnent la liberté. Et la Compagnie des Indes Orientales, en tant que corporation multinationale géante, représente la fin de la liberté individuelle. Ils définissent le monde comme ils veulent qu'il soit, et ils cherchent à se débarrasser de beaucoup de gens. Plus ils dominent, moins il y a de place pour des hommes comme le capitaine Jack Sparrow."
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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