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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Fabrice Luchini interprète à plusieurs reprises des chansons de Johnny Hallyday. Le chanteur ne voyait que lui pour interpréter ce rôle de fan : "Je le connais depuis longtemps. Je le vois à tous mes concerts. Nous avons passé des soirées ensemble et je l'avais déjà vu "chanter" mes chansons ! Je l'ai vu monter sur une table en public, saisir une bouteille comme un micro et m'imiter. Ce rôle lui était prédestiné. S'il n'avait pas pu le jouer, je n'aurais pas pu faire le film."
Dans une scène du film, le concert au Stade de France de Johnny Hallyday a été reconstitué. Il était impossible de tourner pendant un vrai concert donc l'équipe du film a reconstitué cet évènement de grande envergure en plusieurs phases. Un tournage qui s'est avéré très technique puisque pour les plans larges, Laurent Tuel a tourné en hélicoptère autour du Stade de France. La scène et l'avant scène où se pressent les spectateurs, quant à elles, ont été reconstituées en grandeur nature sur le terrain militaire à Villacoublay avec la présence de huit cents figurants et toutes les scènes de backstage ont été tournées au stade Charlety. Il a également fallu recréer la machinerie, les éclairages et la pyrotechnie. Cette reconstitution constitue une étape primordiale puisque cette scène devait ensuite être incrustée numériquement dans les images de celle du concert donné au Stade de France par Johnny Hallyday.
Dans un premier temps, Johnny Hallyday a refusé de jouer dans Jean-Philippe puisque le chanteur ne voulait pas tourner dans des fims qui touchent au domaine de la musique. Mais après avoir lu le scénario, il a finalement accepté : " Pour moi, l'intérêt du rôle était un rôle de Johnny Hallyday qui n'a jamais existé. Je ne devais pas incarner un chanteur mais Jean-Philippe Smet, qui ne le connaît pas. C'est l'histoire d'un homme normal qui n'est pas devenu ce que je suis. "
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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