​UNE JOURNÉE EN ENFER
Nom Original   ​DIE HARD WITH A VENGEANCE
Réalisateur   JOHN McTIERNAN
Date de sortie  02/08/1995
Durée   2h08
Genre   ACTION
​Nationalité   AMERICAINE

Films Réalisés   7 
dont
PREDATOR (1987)
PIEGE DE CRISTAL (1988)
A LA POURSUITE D’OCTOBRE ROUGE (1990)
LAST ACTION HERO (1993)

Bruce Willis
JOHN McLANE

Samuel Lee Jackson
ZEUS CARVER

Jérémy Irons
SIMON PETER GRUBER

Graham Greene
DET. JOE LAMBERT

Colleen Camp
DET. CONNIE KOWALSKI


​SYNOPSIS
Le lieutenant John McClane est de retour et il est demandé en personne par un terroriste, Simon, qui menace New York. Alors qu'il fait équipe avec Zeus, un commerçant du quartier d'Harlem embarqué dans l'aventure malgré lui, McLane se livre à un petit jeu à travers toute la ville, devant résoudre des énigmes. S'il rate son coup, une bombe explose, c'est la règle imposée par Simon...

VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
La scène de braquage des stocks d'or de la Réserve Fédérale de New York a été jugée tellement réaliste que le FBI a revu ses systèmes de sécurité après la sortie d'Une journée en enfer. Le scénariste Jonathan Hensleigh a en effet pu visiter les locaux et eu accès aux plans des lieux, ce qui lui a valu un interrogatoire conjoint de la police et des agents spéciaux. "Pendant une bonne dizaine de minutes, j'ai vraiment, vraiment eu les jetons. J'ai même cru qu'ils allaient m'arrêter", se souvient-il. Si cela n'arrivera pas, le FBI dira néanmoins : "ça va vous paraître dingue, mais quelqu'un pourrait vraiment mettre en pratique le modus operandi du vol. Nous allons avoir une petite réunion sur le sujet, et discuter sur la manière dont nous pourrions améliorer la sécurité du site pour que cela n'arrive jamais".
Le titre de travail d'Une journée en enfer en VO était Simon Says (littéralement Simon dit). Dans la première mouture du scénario, le personnage de Zeus devait être campé par une femme.
​Deux scénarios pour le troisième Die Hard ont tour à tour été envisagés puis abandonnés. L'un, intituléTroubleshooter, racontait comment John McClane, en croisière aux Caraïbes avec sa famille, se retrouvait aux prises avec de nouveaux terroristes. 

Cette idée est "tombée à l'eau" quand le Piège en haute mer avec Steven Seagal est entré en phase de production en 1992. L'autre version, signée Doug Richardson et John Fasano, avait pour toile de fond la prise de contrôle du réseau métropolitain à Los Angeles. Là, c'est Bruce Willis qui s'est opposé au projet, jugeant l'intrigue un peu trop répétitive à son goût et réclamant une "aire de jeu" plus vaste.

La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
Peut-être (ou sans doute) le meilleur épisode de la série. UNE JOURNEE EN ENFER est LE film d’action des années 90. Aussi bon que ludique, c’est la référence en la matière. John McTiernan retrouve la saga après avoir laissé la main à Renny Harlin pour le deuxième volet des aventures de John McLane, et cette fois-ci il n’y va pas avec le dos de la cuillère. Un scénario incroyable, des acteurs parfait et toujours un rythme et une bande son de très haut niveau. Cela donne un résultat excellent.
​​LA NOTE : 8/10

L’HISTOIRE
L’histoire est l’un des atouts de ce film. L’histoire est impressionnante : rebondissements, action, explosion. Le scénario est très ludique et divertissant et cela donne un très bon résultat. Ce sont notamment toues les petits énigmes de Simon qui donne à l’histoire une autre dimension. On conserve tout ce qui a fait les beaux jours de la saga, avec un petit quelque chose en plus. 
​ ​LA NOTE : 9/10 

LE JEU
Cette fois-ci les acteurs sortent le grand jeu. Bruce Willis est meilleur que jamais et il a le renfort de Samuel Lee Jackson, toujours excellent, et Jérémy Irons. Ce dernier, si peu utilisé, est d’une finesse et d’une justesse impeccable. Le trio offre une prestation de très haut niveau pour un film d’action. Les seconds rôles sont également nombreux et donnent de l’ampleur au film, autant chez les méchants que chez les gentils.
LA NOTE : 8/10 

LE RYTHME & LA MUSIQUE
Le film dure 2h08 mais on en redemande forcement. Le rythme était déjà soutenu lors des 2 premiers films de la saga, mais ici c’est encore pire. On n’arrête pas. Nos 2 protagonistes vont vivre une véritable journée de merde, une journée en enfer. Ils courent après Simon et après ses bombes tout en essayant de résoudre les énigmes. 
LA NOTE : 8/10 

On retrouve bien entendu Michaël Kamen à la musique. Outre le thème principal forcément présent, on retrouve côté classique, la « Symphonie n°1 » de Johannes Brahms et la « Symphonie n°9 » de Beethoven. Et du côté du folklore on retrouve le cultissime « When Johnny Comes Marching Home » qui est le véritable hymne de ce film musicalement très réussi, une fois de plus.
LA NOTE : 8/10 

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
Oublions les endroits confinés, le jeu se déroule en plein New-York : un excellent terrain de jeu pour notre ami Simon et pour John McLane. Ce dernier nous fait une véritable visite de la ville avec Central Park, Wall Street, la ville, ses ponts, et même la Canada. Les décors sont très bons et on utilise autant le métro que le taxi, la voiture, un hélicoet même un camion, bref, de nombreux décors pour un film haut en couleurs et en action.
LA NOTE : 8/10 

Toujours plus forts, les effets spéciaux ne peinent pas une seconde. Une nouvelle fois, John McTiernan peut compter sur de la haute qualité pour mettre en œuvre toutes les explosions, les scènes d’actions, les chutes, les nombreux accidents de véhicules. Les scènes d’action sont toujours plus impressionnantes et ça compte beaucoup pour un film de ce genre.
​ ​LA NOTE : 8/10 

La note de sevenart  8.1 / 10

IMDB   7.6 / 10
Rotten Tomatoes   - / 10
AlloCiné   8.4 / 10
Metacritic   5.8 / 10
Comme au Cinéma  10 / 10
Sens Critique   7.4 / 10
Avoir à Lire   - / 10
Ecran Large   10 / 10
​
​La moyenne sans 7  8.2 / 10

menu année
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit. 

Et n’oublions jamais que 
«  Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN