HALLOWEEN 6 : LA MALÉDICTION DE MICHAËL MYERS
Nom Original   ​HALLOWEEN VI : THE CURSE OF MICHAËL MYERS
Réalisateur   JOE CHAPPELLE
Date de sortie  01/03/1998
Durée   1h28
Genre   HORREUR
​Nationalité   AMÉRICAINE​

Films Réalisés  1

Paul Rudd
TOMMY DOYLE

Donald Pleasence
DR. SAMUEL LOOMIS

George P. Wilbur 
MICHAËL MYERS

Marianne Hagan
KARA STRODE

Mitch Ryan
DR. TERENCE WYNN


​SYNOPSIS
Dix ans après avoir terrorisé la petite ville d'Haddonfield et avoir disparu avec sa nièce Jamie, le psychopathe Michael Myers, protégé par une bande de sorciers maléfiques, revient sur les lieux de ses sanglants méfaits. Jamie, elle, donne naissance au fils de Michael Myers et appelle une nouvelle fois le docteur Loomis à l'aide.

​​VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
C'est le sixième film de la série et cinquième et dernier épisode confrontant Michael Myers au docteur Sam Loomis. Donald Pleasence n'a jamais vu le film fini car il est mort très peu de temps après le tournage des suites d'une opération cardiaque. Le film lui est d'ailleurs dédié. À un journaliste qui lui demanda un jour s'il ne se lasserait jamais du rôle du Dr Loomis, Pleasance avait ironiquement répondu : « Tant que l'on produira des Halloween, je serai de l'entreprise. J'ai bien l'intention d'apparaître dans Halloween 30, s'il le faut. »
La cellule où est enfermée Kara vers la fin du film est la numéro 237, référence à Shining de Stanley Kubrick.
​George P. Wilbur avait déjà joué Michael Myers dans Halloween 4.

Le plan des yeux de Kara qui observent le bébé et exactement tourné sous le même angle que dans Psychose lorsque Norman Bates observe Marion Crane aller à la douche.
Le film n'est jamais sorti en salles en France mais uniquement en VHS en mars 1998, il a été édité pour la première fois sur support numérique le 3 juillet 2012 en Blu-Ray et le 23 octobre 2012 en DVD par Studio Canal.

La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
6ème film de la saga HALLOWEEN et de nouveau un film totalement inutile. On part dans des délires absolument grotesques qui dénaturent complètement l’œuvre original. Les précédents films manquaient de crédibilité, à ce stade, les mots commencent à manquer pour qualifier ce 6ème opus. On tombe à un stade que l’on ne pouvait pas vraiment imaginer.
​​LA NOTE : 3/10

L’HISTOIRE
On reprochait aux précédents films de n’avoir aucune histoire autre que celle de voir Myers tuer tout le monde sans véritable raison. Ici, on s’est accroché à tenter de pondre une histoire de sorciers, et finalement on préférait peut-être quand il n’y avait pas d’histoire. C’est dire le niveau du scénario !
LA NOTE : 3/10 

LE JEU
Le jeu est toujours du même niveau, oscillant entre passable, nul et médiocre… flirtant avec les bas fonds et se contentant souvent de hurlement, de « Attention ! », « Non ! », « Il est là ! » Pas de quoi citer les acteurs, ce qui n’aurait aucun intérêt. 
​​LA NOTE : 4/10 

LE RYTHME & LA MUSIQUE
1h28 de déjà vu et de grand n’importe quoi absolument inintéressant et inutile. On a beau se creuser la tête pour, cette fois-ci, trouver un semblant d’histoire, rien n’y fait. L’histoire est tout bonnement improbable et forcement on s’ennuie, beaucoup.
LA NOTE : 4/10 

La musique est signée Alan Howarth et Paul Rabjohns. On perd le générique historique et on ne récupère … rien. La BO est à l’image du film, nulle.
​​​LA NOTE : 4/10 

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
Les décors changent, mais sans histoire valable, ils ne servent à rien. Mais on conserve toujours quelques scènes dans la maison historique des Myers. Au moins ce décor aura été rentabilisé. 
LA NOTE : 4/10 

Les effets spéciaux ne sont pas forcement excellents non plus. Ce film ne restera pas en mémoire et perpétue la médiocrité de cette saga entamée depuis le 3ème film. Une telle persévérance est tout de même à saluer.
​LA NOTE : 4/10 

La note de sevenart  3.7 / 10

IMDB   5.0 / 10
Rotten Tomatoes   2.7 / 10
AlloCiné   3.8 / 10
Metacritic   - / 10
Comme au Cinéma  7.5 / 10
Sens Critique   3.9 / 10
Avoir à Lire   - / 10
Ecran Large   4.0 / 10
​
​La moyenne sans 7  4.5 / 10

menu année
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit. 

Et n’oublions jamais que 
«  Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN