​INDIANA JONES ET LA DERNIERE CROISADE
Nom Original   ​INDIANA JONES AND THE LAST CRUSADE
Réalisateur   STEVEN SPIELBERG
Date de sortie  18/10/1989
Durée   2h07
Genre   AVENTURES
​Nationalité   AMERICAINE

Films Réalisés   17
dont 
​DUEL (1971) 
​LES DENTS DE LA MER (1975)
RENCONTRE DU TROISIÈME TYPE (1977)
LES AVENTURIERS DE L'ARCHE PERDUE (1981)
​E.T. L'EXTRATERRESTRE (1982)
​INDIANA JONES ET LE TEMPLE MAUDIT (1984)

Harrison Ford
INDIANA JONES

Sean Connery
PR. HENRY JONES SR. 

Denholm Elliott
DR. MARCUS BRODY

Alison Doody
PR. ELSA SCHNEIDER

John Rhys-Davies
SALLAH


SYNOPSIS
​L'archéologue aventurier Indiana Jones se retrouve aux prises avec un maléfique milliardaire. Aux côtés de la cupide Elsa et de son père, il part à la recherche du Graal.

VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
La première escale de Indiana Jones est Venise. Toutes les scènes se déroulant dans la ville des amoureux ont été tournées en une seule journée. Les autorités locales ont effectué un remarquable travail pour métamorphoser les rues de la ville et lui donner une ambiance comparable à celle de la fin des années 30. on peut ainsi apercevoir à l'écran l’embarcadère de Fondamenta della Dogana Salute, la tour Campanile de Saint-Marc et le Grand Canal.
Steven Spielberg a toujours vu le personnage d'Indiana Jones comme un James Bond en plus aventurier. Doit-on alors n'y voir que le fruit du hasard si Indiana Jones et la Dernière Croisade compte à son générique une incarnation de James Bond (Sean Connery), un allié de James Bond (John Rhys-Davies), une James Bond girl (Alison Doody) et deux méchants de la saga 007 (Julian Glover, Stefan Kalipha et Pat Roach).

Indiana Jones et la Dernière Croisade compte à son générique le jeune River Phoenix, qui incarne le personnage d'Indiana Jones à l'âge adolescent. Révélé dans Stand by me et consacré dans le My Own Private Idaho de Gus Van Sant, le jeune Américain, très vite comparé à James Dean, décède à 23 ans d'une overdose, laissant derrière lui une carrière aussi éphémère que culte.
Le tournage d'Indiana Jones et la Dernière Croisade s'est un temps arrêté en Jordanie. La famille royale du pays a profité de l'occasion pour effectuer une petite visite des plateaux.

La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
Ce 3ème opus des aventures d’Indiana Jones permet de retrouver l’esprit du premier épisode, l’esprit d’Indiana Jones. Et c’est notamment dû au fait que l’on cherche ici le Saint Graal, un nouvel objet mythique de la religion catholique. Dans Les Aventuriers de l’Arche Perdue Indiana Jones retrouvait l’Arche d’Alliance qui renferme les tables des Commandements. Ce film recèle de  nombreuses scènes cultes et le tandem Ford / Connery fonctionne à merveille. Il redynamise la saga pour nous offrir un excellent épisode de la vie trépidante d’Indiana Jones.
​​LA NOTE : 8/10

L’HISTOIRE
L’histoire est tout bonnement excellente. On plonge en pleine quête archéologique, à la recherche de l’arche de l’alliance, rien de moins. Cette arche est censée renfermer les tables de la loi sur lesquelles étaient inscrits les 10 commandements. Une histoire palpitante, adaptée, accessible et bien pensée. On découvre le personnage si attachant et drôle d’Indiana Jones Jr, tantôt professeur renommé, tantôt archéologue assoiffé. Une des meilleures histoires de la série.  
LA NOTE : 8/10 

LE JEU
Les acteurs font une fois de plus le job. Une mention spéciale au duo de star : Ford / Connery qui fonctionne très bien. Ils s’échangent amabilités et considérations à longueur de film pour le bonheur des spectateurs.Les seconds rôles sont également tout à fait à la hauteur. On retrouve d’ailleurs avec plaisir John Rhys-Davies, déjà aperçu dans le premier volet et dans un James Bond aux côtés de Timothy Dalton. Cela rappellera peut-être quelque chose à Sean Connery. 
LA NOTE : 7/10 

LE RYTHME & LA MUSIQUE
Le film dure 2h07, soit un petit peu plus que les deux premières aventures du Pr. Jones. Mais cela ne se ressent pas du temps tant on est plongé de bout en bout dans cette nouvelle escapade archéologique. Pas de longueur, pas de pause, on est propulsé dans les divers décors qui marquent la vie d’Indiana Jones, jeune et plus vieux.
LA NOTE : 8/10 

On doit la musique à l’éternel John Williams et le thème culte d’Indiana Jones est une nouvelle fois sublimée par le maître. Tantôt espiègle, tantôt grave et sombre, les mélodies s’enchainent agréablement bien. La bande son est magnifique, peut-être la meilleure de la série.
LA NOTE : 8/10 

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
Les décors sont ultra marquants ! Venise, Salzbourg, Berlin et pour finir la Jordanie avec en point d’orgue : La porte de Petra. Rien de moins pour donner vie à cette histoire pleine d’action et de rebondissement. On traverse l’Europe et le Proche Orient en profitant de villes magnifiques et de merveilles de la nature. 
LA NOTE : 8/10 

Les effets spéciaux sont toujours aussi bons. Non, ils sont meilleurs. Ici, peu de lacunes. Steven Spielberg s’améliore de film en film. On atteint un niveau très élevé pour la fin des années 80. Il peut s’en donner à cœur joie en matière de cascades, d’accidents, de fusillades. Il peut surtout redonner vie à une certaine mythologie. 
​LA NOTE : 8/10 

La note de sevenart  7.9 / 10

IMDB   8.3 / 10
Rotten Tomatoes   7.9 / 10
AlloCiné   8.8 / 10
Metacritic   6.5 / 10
Comme au Cinéma  10 / 10
Sens Critique   6.8 / 10
Avoir à Lire   - / 10
Ecran Large   9.0 / 10
​
​La moyenne sans 7  8.3 / 10

menu année
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit. 

Et n’oublions jamais que 
«  Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN