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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Tourner un troisième volet à la sage Fast & Furious demandait de réactualiser certains éléments pour éviter la répétition. Ainsi Fast and Furious : Tokyo Drift permettait d'explorer de nouveaux horizons et également d'introduire un sport fascinant : le drifting, comme l'en témoigne Neal Moritz : "Nous n'aurions pas fait "Fast and Furious : Tokyo Drift" sans une trame solide et originale. Un jour, notre équipe en est venue à discuter d'un nouveau style de course, né à Tokyo, qu'on appelle le "drifting". Les films clandestins tournés durant ces courses m'ont captivé. (...) J'ai pensé que cela méritait un film. Le résultat final m'a comblé."
Le Drifting, pratique dangereuse de la course automobile est un sport très réputé au Japon. Le réalisateur Justin Lin revient sur ce phénomène au pays du soleil levant : " Je ne connaissais pas intimement les rites du "drift" lorsque j'ai attaqué ce projet. J'ai découvert qu'il était l'invention de bandes de jeunes d'origine populaire, venants des régions montagneuses du Japon où les routes sont extrêmement sinueuses. Le sport consistait tout simplement à tenter de les descendre le plus vite possible. Plus tard, le phénomène s'est étendu aux rues de Tokyo. Visuellement, cela donne un spectacle fascinant."
Si les scènes de cascades sont impressionnantes et spectaculaires, il fallait toutefois garder une ligne de conduite : le réalisme avant tout. Le producteur Neal Moritz revient sur cet élément clé : "Nous avons réuni la meilleure des équipes techniques. Les responsables des effets visuels sont les mêmes que sur les deux films précédents. Ils connaissent les règles du jeu : rester dans les limites du vraisemblable, ne pas faire accomplir aux voitures des exploits dont elles seraient incapables dans la réalité. L'équipe a fait un effort remarquable en ce sens."
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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