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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Land of the dead est le quatrième épisode d'une saga sur les morts-vivants entamée en 1968 par George A. Romero. Marqué de l'empreinte du 11 septembre 2001, cet opus prend le relais du spectre de la guerre du Vietnam de La Nuit des morts-vivants, du consumérisme de Zombie (1978) et des germes du totalitarisme du Jour des morts-vivants(1985). Romero reprend donc sa saga vingt ans après son point final provisoire...
Pour le réalisateur, "Land of the dead (le territoire des morts) aurait dû se monter dans les années 90, mais on s'est embourbé, avec mon partenaire, dans des projets hollywoodiens. Après, j'ai fui le système, j'ai réalisé des petits films comme Bruiser pour manger, et je me suis mis sérieusement à écrire ce film. Et puis le 11-septembre est arrivé et tout le monde ne jurait que par des films rassurants, pas apocalyptiques."
Le rôle féminin principal est tenu par la sulfureuse et arty Asia Argento. Son père, le légendaire cinéaste italien Dario Argento, avait co-produit un des films de morts-vivants réalisés par Romero, Zombie. Ils avaient également réalisé ensemble un film à sketches intitulé Deux Yeux maléfiques et sorti en France en 1992. Néanmoins, Asia Argento avait tenu à préciser que ce n'était pas au nom de cette collaboration entre les deux vétérans du film d'épouvante qu'elle participait à Land of the dead (le territoire des morts) : "Bien sûr, toute gamine, j'ai rencontré George A. Romero à deux ou trois reprises, mais s'il m'a demandée d'y interpréter Slack, c'est surtout parce qu'il avait beaucoup aimé mon premier long-métrage en tant que réalisatrice, Scarlet Diva. Après deux projets qui ont avorté, il m'a contactée à nouveau pour Land of the dead. Je me suis aussitôt engagée à fond dans le projet même si les films d'horreur ne sont pas vraiment ma tasse de thé..."
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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