​LES SURVIVANTS
Nom Original   ​ALIVE
Réalisateur   FRANK MARSHALL
Date de sortie  21/04/1993
Durée   2h00
Genre   DRAME
​Nationalité   AMÉRICAINE

Films Réalisés   4 
​dont
ARACHNOPHOBIE (1990)
CONGO (1995)

John Malkovich
CARLITOS PAEZ (Narrateur)

Ethan Hawke
FERNANDO PARRADO

Josh Hamilton
ROBERTO CANESSA

Bruce Ramsay
CARLITOS PAEZ

Jack Noseworthy
ROBERTO FRANCOIS

​
​SYNOPSIS
L'avion de l'équipe nationale uruguayenne de rugby s'écrase sur la Cordillère des Andes. Seule une vingtaine de passagers en réchappe. Pour survivre dans ces conditions climatiques extrêmes, les rescapés sont contraints de recourir à l'anthropophagie.

VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?

Il s’agit de l’adaptation du best-seller homonyme de Piers Paul Read, dans lequel il raconte le crash du Vol 571 Fuerza Aérea Uruguaya dans la cordillère des Andes en s'appuyant sur les témoignages des survivants de cette catastrophe aérienne qui a causé la mort de vingt-neuf personnes et n'a connu que seize survivants.

La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
Quelle incroyable histoire ! Une catastrophe, un drame humain, une épreuve de survie, un questionnement sur l’Homme. C’est marrant comme c’est dans les conditions extrêmes que les questions existentielles se posent vraiment. Quand on est au bout du bout, que la fin semble si proche, qu’il n’y a plus aucune issue. Qu’on pu traverser et vivre ses hommes ? Ce film est un bel hommage.
​​LA NOTE : 8/10

L’HISTOIRE
Le film relate l’histoire vraie d’une équipe de rugby dont l’avion s’écrase dans la Cordillère des Andes. Perdue au milieu des montagnes il faut tenter de survivre et tenter de garder espoir. Le scénario nous fait passer par toutes les phases qu’on pu vivre ces hommes et ces femmes, abandonnés dans un enfer blanc qui n’a pas de fin. Le scénario transmet les émotions de ces survivants qui sont de véritables miraculés.
​LA NOTE : 7/10 

LE JEU
De jeunes acteurs, et quelques têtes connues comme John Malkovich qui narre cette aventure et le jeune Ethan Hawke à l’aube de sa carrière. Il démontre déjà des signes d’un grand talent qui va se révéler quelques années plus tard. Dans l’ensemble les acteurs sont bons et nous font parfaitement vivre ce calvaire blanc. 
LA NOTE : 7/10 

LE RYTHME & LA MUSIQUE
Le film dure 2h00 et on ne s’ennuie pas car on est vite plonger dans le bain, la tête dans la neige. On assiste à l’organisation de la survie. On passe les étapes les unes après les autres, de l’espoir à l’inquiétude, de l’ennui à la folie. Comment garder espoir quand il ne semble plus y en avoir ?
LA NOTE : 8/10 

La musique est signée James Newton Howard. Il signe une jolie bande son qui accompagne cette incroyable et terrible aventure humaine. La musique est là pendant les moments de doute, d’espoir, les deuils et les joies. La BO et les décors magnifient le témoignage de ces hommes qui sont véritablement revenu de l’enfer blanc. L’Ave Maria qui clos le film avec les vues magistrales des montagnes donne une magnifique fin à ce film.
LA NOTE : 8/10 

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
La Cordillère des Andes n’est-elle pas le plus beau des décors ? Pour nous si, pour eux non. Toujours est-il que Frank Marshall nous plonge véritablement dans cet enfer blanc, froid, instable, dangereux. La beauté des montagnes, le bleu du ciel, la blancheur éclatante de la neige en ferait presque oublier le drame qui se joue dans cette carcasse d’avion. 
LA NOTE : 8/10 

Bon les effets spéciaux sont ceux de l’époque et on peut saluer les efforts pour rendre cela crédible. Mais dans l’ensemble on s’y croit et Frank Marshall a l’intelligence de les utiliser avec la plus grande parcimonie. Ainsi dès l’avion crashé, on se contente de décors et c’est ce qu’il y a de plus beau. 
​​ ​LA NOTE : 6/10 

La note de sevenart  7.4 / 10

IMDB   7.1 / 10
Rotten Tomatoes   6.2 / 10
AlloCiné   7.2 / 10
Metacritic   - / 10
Vodkaster Télérama  6.6 / 10
Sens Critique   6.7 / 10
Avoir à Lire   - / 10
Ecran Large   - / 10
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​La moyenne sans 7  6.8 / 10

menu année
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit. 

Et n’oublions jamais que 
«  Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN