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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Pour les besoins du film, Guillaume Canet et les réalisateurs, Tristan Aurouet et Gilles Lellouche, ont rencontré un vrai narcoleptique. Tous souhaitaient ne pas trahir la réalité de cette maladie. C'est ainsi qu'ils ont découvert la faculté des narcoleptiques à reprendre leurs rêves où ils les laissent en se réveillant et à les poursuivre tout naturellement. En fait, ces personnes sont immédiatement plongées dans le sommeil paradoxal que nous mettons entre deux et trois heures à atteindre. Au final, les réalisateurs jugent qu'il n'existe aucune incohérence vraiment énorme entre leur fiction et la réalité.
Coïncidence, Les Productions du Trésor qui produisent Narco ont aussi financé le premier long-métrage de Guillaume Canet, Mon idole. C'est là que Gilles Lellouche et Tristan Aurouet ont rencontré celui qui deviendra Gustave Klopp. Non seulement, Guillaume Canet a totalement adhéré à l'univers mi-mélancolique, mi-déjanté des deux réalisateurs, mais, pour les besoins du rôle, il a aussi accepté de prendre dix kilos et de se laisser pousser la barbe. Le résultat se passe de commentaires...
De l'aveu même des réalisateurs, le personnage de Lenny Barr a été écrit pour Benoît Poelvoorde. Mais, même s'il aimait beaucoup le rôle, l'acteur a du le refuser tant son emploi du temps était surchargé (deux films prenants la même année : Atomik Circus, le retour de James Bataille et Podium). Plus tard, sur le tournage d'Atomik Circus, Gilles Lellouche et Tristan Aurouet sont revenus à la charge : nouveau refus. Ils se sont donc résolus à auditionner un autre comédien... qui leur a fait faux bond à 15 jours du tournage ! Ils ont donc contacté de nouveau Benoît Poelvoorde qui a finit par accepter l'invitation. |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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