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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le Ronin est un Samouraï déshonoré parce que son seigneur est mort et qu'il n'a donc pas pu le défendre. Il n'a pas été à la hauteur, il est donc condamné à errer, à se marginaliser. Il ne cherche qu'une chose : venger son seigneur, et son honneur. Il va alors tuer le meurtrier de son seigneur, avant de se donner la mort, en se tranchant le ventre. Mais ayant retrouvé son honneur.
Ronin a permis aux acteurs de toucher des cachets records (14 millions de $ pour De Niro). Le film a été entièrement tourné en France, au coût de 70 millions de $. Là encore un record pour un tournage au pays de Renoir. Un quartier de Montmartre a même été entièrement reconstruit dans un studio. Le tournage s'est déplacé entre Paris, Cannes et Arles, de novembre 97 à mars 98. Le tournage a été perturbé par l'arrestation de De Niro à Paris. Le comédien devait témoigner pour une affaire de réseau de prostitution. Après enquête, le comédien fut mis hors de cause.
Dans French Connection II, Frankenheimer avait tenté de surpasser la référence en matière de course-poursuite, à savoir William Friedkin, le tenant du titre de la poursuite automobile en milieu urbain (French Connection, Police spéciale à Los Angeles). Frankenheimer tente, de nouveau, avec Ronin d'établir une nouvelle référence dans le dictionnaire des traques routières.
John Frankenheimer, le réalisateur, voulait que tout soit tourné en direct, sans trucages, ni voiture travelling. Il a même interdit de tricher sur la vitesse des caméras. Pour résoudre le problème, la production a fait appel à des pilotes professionnels (à l'instar de Taxi et Taxi 2). Ce qui a permis à la production de faire rouler des voitures à 160 km/h dans le tunnel des Halles. Au total plus de 300 véhicules ont été utilisés dans la scène du périphérique à contresens. |
La Critique de SevenArt
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
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« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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