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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
C'est grâce à Haute tension, son film d'horreur made in France qui a été présenté au Festival du film indépendant de Sundance en 2004, qu'Alexandre Aja, seulement âgé de 25 ans, s'est vu courtiser par les pontes de Hollywood et confier ce projet de remake.
Le but n'était pas de copier le film original mais d'apporter une nouvelle vision au film. Alexandre Aja s'exprime à ce sujet : "Nous étions particulièrement enthousiastes à l'idée de pouvoir aller plus loin dans l'exploration des mécanismes de la peur et de développer les personnages. C'était l'occasion de s'intéresser à la nature humaine lorsqu'elle est confrontée à la plus extrême pression. Pour nous, ce film était l'étape parfaite après Haute tension".
Même si La Colline a des Yeux reste une œuvre de pure fiction, Wes Craven dit s'être inspiré d'une histoire vraie qui date du XVIIème siècle, en Ecosse. Une famille de 48 membres tendait des embuscades aux voyageurs sur des routes, les tuait pour les manger ensuite. Le roi James Ier d'Ecosse a fini par envoyer 400 soldats pour traquer et exécuter ces cannibales.
Alexandre Aja et Wes Craven ont dû consentir quelques coupes pour ne pas voir leur film interdit aux moins de 17 ans aux Etats-Unis. Certaines scènes d'une rare violence - l'attaque de la famille par les mutants - ont en effet heurté la sensibilité de la redoutée MPAA. A l'initiative des deux cinéastes, une version intégrale de La Colline à des yeux sera disponible en DVD.
Alexandre Aja signe ici le remake d'un classique du cinéma d'horreur datant de 1977, La Colline a des yeux de Wes Craven. En cela, le long métrage du jeune réalisateur français s'inscrit dans une tendance hollywoodienne consistant à reprendre des films d'épouvante emblématiques des seventies (Massacre à la tronçonneuse, La Malédiction ou encore Amityville, la maison du diable) et à en proposer une nouvelle version. Wes Craven, lui-même, a assuré la production de ce remake pour Dimension Films. |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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