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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Robert De Niro signe ici son retour derrière la caméra, treize ans après la réalisation de son premier film Il était une fois le Bronx. A cette occasion, il retrouve deux de ses amis acteurs qu'il avait eu l'occasion de diriger dans son précédent long métrage : Chazz Palminteri et Joe Pesci, qui avait disparu des écrans depuis L'Arme fatale 4 en 1998.
Depuis le début des années 90, Robert De Niro cherchait un sujet pour sa deuxième réalisation. La productrice Jane Rosenthal, sa partenaire au sein de Tribeca Films, explique : "Bob s'est toujours intéressé à la politique étrangère et au renseignement." Toutefois, Robert De Niro ne voulait pas réaliser un film de fiction comme il s'en fait beaucoup autour de l'univers de l'espionnage. Il désirait montrer les véritables rouages internes des services de renseignement et révéler comment ces hommes, anonymes pour la plupart, ont contrôlé notre monde, souvent au prix de lourds sacrifices personnels et professionnels.
A l'écriture du scénario, on retrouve Eric Roth, un habitué des biopics et autres parcours initiatiques puisqu'on lui doit, entre autres, les scripts de Forrest Gump, The Postman, L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux, Révélations et Ali.
Robert De Niro coupait le moins possible et donnait ses indications aux comédiens alors même que la caméra continuait à filmer. L'acteur-réalisateur explique : "C'est important de donner le plus de liberté possible aux acteurs. S'ils font une erreur, ça ne pose aucun problème. Ils n'ont alors plus peur d'essayer des choses ou de vous faire confiance quand vous leur donnez une indication. C'est très important pour tous les éléments qui relèvent de la créativité du film."
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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