la Bio :
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Bien élevé et socialement avantagé, il se marginalise néanmoins de plus en plus. Rebelle au physique sportif, il n’est pas un bon athlète et ne s’investit pas. Ses deux priorités sont les filles et les voitures. Il trouve un petit boulot dans une usine avant d’être appelé pour son service militaire où il donnera des cours de natation. Après son retour, et après une période tumultueuse sentimentalement durant laquelle il se voit contraint de faire avorter sa petite amie, il prend réellement des cours de comédie. Finalement les débuts sont laborieux. Il signe chez Universal qui est en plein expansion notamment avec la création de l’Universal Talent School. Mais Eastwood est moins sollicité que ses camarades et son contrat n’est pas renouvelé. Malgré cet échec, sa détermination est sans faille et il persiste. Finalement c’est à la télévision que sa carrière va pouvoir se lancer définitivement. Il débute réellement dans la série télévisée Rawhide et il enchaîne ensuite avec les westerns spaghettis, qui vont lui permettre d’atteindre la célébrité. Et elle passe par la collaboration avec Sergio Leone et avec la trilogie du dollar : Pour une Poignée de Dollars - …Et Pour Quelques Dollars de Plus – Le Bon la Brute et le Truand.
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Eastwood va rapidement se mettre à la réalisation. Il va enchainer les films, en tant qu’acteur (près de 100) et en tant que réalisateur (près de 40). Jusque dans les années 90 on le retrouve surtout dans des westerns et dans la série qu’il incarne avec dynamisme, L’inspecteur Harry. A partir des années 2000, il se diversifie avec des films dramatiques, des thrillers, des films de guerre et plus récemment sur le terrorisme ou sur des catastrophes. Acteur et réalisateur qui aura su traverser les décennies sans se plier aux qu’en dira-t-on, sans avoir plus de talent qu’un autre, sans aide, sans piston, mais avec pour seule devise une phrase de son père : « On n’a rien sans rien. » Qualifié de masochiste quand à son image dans les films, conservateur dans sa façon de voir le monde, il reste républicain, patriote, comme le montre sa « trilogie américaine » : American Sniper – Sully – 15h17. |
les Récompenses :
- Golden Globe 1971 : Henrietta Award
Clint Eastwood en 10 rôles :
mais aussi...
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