MINORITY REPORT
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Films Réalisés 26 dont LES AVENTURIERS DE L'ARCHE PERDUE (1981), E.T. L'EXTRATERRESTRE (1982), INDIANA JONES ET LE TEMPLE MAUDIT (1984), INDIANA JONES ET LA DERNIÈRE CROISADE (1989), HOOK OU LA REVANCHE DU CAPITAINE CROCHET (1991), JURASSIC PARK (1993), LE MONDE PERDU (1997), AMISTAD (1997), IL FAUT SAUVER LE SOLDAT RYAN (1998), A.I. (2001) |
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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le studio ILM (Industrial Light and Magic), qui avait déjà joué un rôle prépondérant dans de précédents films de Steven Spielberg, a cette fois-ci une nouvelle fois occupé le devant de la scène. Les équipes ont ainsi du créer de nombreuses images de synthèses, comme pour l'impressionnante scène dans laquelle Tom Cruise évolue dans un paysage autoroutier futuriste. "Le seul élément physique réel de cette scène est Tom, que l'on voit bondir hors de son véhicule et s'échapper en sautant sur les toits de voitures", explique Scott Frankel, Superviseur compositions. "Tout ce qui l'entoure : les véhicules, l'immense paysage urbain avec ses centaines d'immeubles, ses fumées, etc..., est en images de synthèse."
Steven Spielberg a souhaité que le public voie en Minority Report "une extension du monde actuel", comme le définit le chef décorateur Alex McDowell. Spielberg lui-même explique avoir voulu que "cet environnement, très touffu, très détaillé, soit perçu comme une évidence, qu'on finisse par l'oublier pour concentrer toute son attention sur le mystère."
John Underkoffler, professeur au M.I.T. (Massachussets Institute of Technology) et consultant sur le long métrage, déclare quant à lui que "le monde de Minority Report est plus réaliste, plus âpre, plus nuancé que celui que nous présentent si souvent les utopistes. Il constitue une toile de fond passionnante."
La photographie de Minority Report tient une place primordiale dans le film. Steven Spielberg se rappelle des premières indications données à Janusz Kaminski, son fidèle directeur de la photographie depuis La Liste de Schindler. "J'ai expliqué à Janusz que ce serait mon film le plus ténébreux, avec une image granuleuse, froide, ancrée dans l'univers âpre et brutal du film noir. Tout le contraire de la chaude atmosphère d'A.I. Intelligence artificielle".
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La Critique de SevenArt
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
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