RIPOUX 3
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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Dans le film, Didier Kaminka, auteur et dialoguiste du film, joue un chauffeur de taxi.
On notera l'apparition de Claude Zidi, réalisateur du film. Celui-ci apparaît au début du film entre la scène où Philippe Noiret donne un tuyau au boucher et la scène où il entre dans un bar. Le réalisateur traverse l'écran derrière Philippe Noiret lorsqu'on le voit de face sur le marché.
Après Julien Guiomar dans Les Ripoux et Michel Aumont dans Ripoux contre ripoux, c'est au tour de Jean-Luc Bideau d'incarner le rôle de Bloret. Sauf qu'il ne dirige pas le commissariat des deux premiers films : cette fois, il est le supérieur de François à l'IGS.
Dans les deux premiers épisodes, le rôle de Simone, ancienne prostituée, est tenu par Régine et Line Renaud. Dans cet épisode, l'amie de René est voyante, se prénomme Carmen et est jouée par Bernadette Lafont
Morzini est le nom du truand joué par Gérard Depardieu dans Inspecteur la Bavure, réalisé par Claude Zidi en 1980.
Grace de Capitani ne reprend pas le rôle de Natacha, petite amie de François dans les deux premiers opus. Le personnage de Natacha n'est d'ailleurs pas présent dans le film.
René Morard, le patron de la cantine où vont manger François et René dans Les Ripoux et Ripoux contre ripoux, est le patron de Marie, et dirige toujours la cantine (même s'il n'a plus de lien avec les Ripoux). À ce titre, les connaisseurs de la trilogie peuvent y voir un clin d'œil ou une incohérence : René Morard qui joue le patron de Marie, se laisse tromper par René Boisrond qui se fait passer pour Jean Morzini, alors qu'il connaît très bien le "ripou" des deux premiers films.
On peut noter la participation de Laurence Boccolini, présentatrice d'émissions télévisées.
Contrairement aux deux précédents épisodes qui se déroulaient dans le quartier de Montmartre (XVIIIe arrondissement), celui-ci se déroule autour du quartier de Belleville (XIe et XXe arrondissements).
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La Critique de SevenArt
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
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« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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