SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Wonder est l'adaptation du roman du même nom de R.J. Palacio paru en 2013 et vendu à plus de 5 millions d'exemplaires dans le monde.
R.J. Palacio s'est mise à écrire Wonder après avoir croisé dans la rue un enfant qui souffrait de malformation cranio-faciale. Elle a aussitôt détourné son regard puis, remplie de honte, s'est demandé ce que pouvait ressentir cet enfant. Elle s'est alors lancée dans l'écriture de Wonder en se plongeant dans la littérature médicale et en recueillant des témoignages de famille dont les enfants ont une malformation identique.
Stephen Chbosky, réalisateur de Wonder, porte une nouvelle fois à l'écran un roman, cinq ans après Le Monde de Charlie qui était l'adaptation de son propre livre, Pas raccord.
A l'origine, Chbosky, connu aussi pour avoir écrit la version live de La Belle et la bête, ne souhaitait pas se lancer dans Wonder. Sa femme venait d'accoucher et il ne voulait pas refaire un film se déroulant dans une école. Mais devant l'obstination des producteurs, il a fini par lire le roman de R.J. Palacio et a été emballé par l'histoire. Il a co-écrit le long-métrage aux côtés de Steve Conrad (La vie rêvée de Walter Mitty) et Jack Thorne, scénariste de la série Skins et auteur de la pièce de théâtre Harry Potter et l'Enfant Maudit.
Le héros de Wonder souffre du syndrome de Treacher-Collins qui, tout en étant provoqué par la mutation d'un seul gène, peut engendrer une malformation profonde des os du visage. Certains souffrent d'une forme tellement bénigne de la maladie qu'ils n'en ont même pas conscience. D'autres, au contraire, ont un visage totalement déformé : leur structure osseuse les empêche de bien respirer, entendre et voir, si bien qu'ils ont souvent besoin de plusieurs interventions de chirurgie réparatrice avant l'âge de 5 ans.
La production tenait à ce que les personnes atteintes de maladies cranio-faciales soient associées au film. Plusieurs organisations comme MyFace et la Children's Craniofacial Association (CCA) ont collaboré à Wonder, y voyant une occasion de sensibiliser l'opinion publique à cette pathologie.
En 1985, un autre film sensibilisait déjà le public à l'ostracisme subi par les personnes atteintes de difformité. Intitulé Mask, le film de Peter Bogdanovich suivait le parcours d'un jeune homme (Eric Stoltz) tentant de vivre une vie normale, épaulé par sa mère, incarnée par Cher. La chanteuse et actrice est d'ailleurs la porte-parole de la Children's Craniofacial Association (CCA), que l'équipe de Wonder a été amenée à rencontrer au cours de la production.
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