VIOLENT NIGHT
Nom Original   ​VIOLENT NIGHT
Réalisateur   TOMMY WIRKOLA
Date de sortie  30/11/2022
Durée   1h52
Genre   COMEDIE
Nationalité   AMERICAINE

Films Réalisés   8
dont
SEVEN SISTERS (2017)

David Harbour
SANTA CLAUS

John Leguizamo
JIMMY MARTINEZ

Alex Hassell
JASON LIGHTSTONE

Alexis Louder
LINDA LIGHTSTONE

Edi Patterson
ALVA STEELE-LIGHTSTONE

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​SYNOPSIS
Le soir de Noël, quand un groupe de mercenaires entre par effraction sur la propriété d’une famille aisée qu’ils prennent en otage, ils vont devoir affronter un adversaire auquel ils ne s’attendaient pas : Le Père Noël est dans la place et il va leur montrer que ce bon vieux Saint Nicolas a plus d’un tour dans sa hotte.

VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?

Violent Night possède de nombreux clins d’œil à d’autres films de Noël, comme le précise Tommy Wirkola : "C'est un film avec pas mal d’easter eggs. Nous faisons référence notamment à des films comme Maman j’ai raté l’avion, Le Sapin a les boules, Scrooge, La Vie est Belle et bien sûr Die Hard !"

La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
Voilà un film comme on les aime, un film qui casse les codes, qui ne respecte rien, qui ne s’embarrasse d’aucune règle. Un conte de noël qui finit en bain de sang. Une aventure du père noël qui s’apparente à un mélange entre « Die Hard » et « Maman J’Ai Raté l’Avion ». Alors si le scénario reste assez simpliste, le film est divertissant, dopé au second degré, comme on les aime. Alors joyeux noël !
​​​LA NOTE : 6/10

L’HISTOIRE
Pour l’histoire on est clairement dans le film d’action, avec un scénario plutôt sommaire, des personnages qui survivent à presque tout, et beaucoup de sang. Voilà donc le pire noël de l’histoire des noëls, comme l’avait prédit le grand méchant de l’histoire. Le père noël fait donc le tri entre les gentils et les méchants enfants, avec une certaine brutalité divertissante, jusqu’à un certain point où les limites sont aussi visibles qu’un sapin de noël enguirlandé.
​​​LA NOTE : 6/10

LE JEU
Côté acteurs, on est sur un film d’action, sans grandes prestations. Si David Harbour fait le job par son charisme, les personnages secondaires sont très faibles. On peut mettre de côté John Leguizamo, le plus expérimenté du casting, mais sinon, cela reste faible.
​​​LA NOTE : 4/10

LE RYTHME & LA MUSIQUE
Le film dure 1h52. En mélangeant la magie de noël au gore d’un film d’horreur, le tout sur fond de Die Hard 1 et 2 et de Home Alone, voilà une recette bien indigeste, mais qui passe quand même car en face on a droit à des films tellement convenus et attendus qu’on se dit qu’avoir un film qui sort de l’ordinaire, c’est peut-être un peu ça la magie de noël.
​​​LA NOTE : 7/10
La musique est signée Dominic Lewis. Certains passages musicaux rappellent clairement la BO de « Maman J’ai Raté l’Avion », mais d’autres sont plus mystiques, ce qui enrichit brillamment la bande son. Globalement l’ensemble de la musique se pare de tonalités très noëlliennes, un brin rock n’ roll mais finalement réussie.
​​​LA NOTE : 6/10

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
Pour les décors, on se retrouve rapidement dans la très, très vaste demeure de la richissime famille Lightstone, un manoir qui trône au milieu d’un vaste parc clôturé et sécurisé. Les lieux sont idéals pour ce type de film, façon huis clos, à mi-chemin entre la grande maison des MacCallister de Home Alone et du Nakatomi Plaza de Die Hard.
​​​LA NOTE : 7/10
Les effets spéciaux sont utiles pour rendre ce conte de noël bien gore. Car le père noël, ici, ne se contente pas de distribuer les cadeaux, mais aussi les mandales façon Bud Spencer, et c’est peu dire que le sang de noël va couler en cette nuit de noël.
​​​LA NOTE : 7/10

La note de sevenart  6.1 / 10

IMDB   6.7 / 10
Rotten Tomatoes   7.3 / 10
AlloCiné   6.6 / 10
Metacritic   5.5 / 10
Vodkaster Télérama  3.2 / 10
Sens Critique   5.8 / 10
Avoir à Lire   - / 10
Ecran Large   4.0 / 10
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​La moyenne sans 7  5.6 / 10

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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit. 

Et n’oublions jamais que 
«  Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN