VILLA CAPRICE
Nom Original   ​VILLA CAPRICE
Réalisateur   BERNARD STORA
Date de sortie  02/06/2021
Durée   1h45
Genre   THRILLER
​Nationalité   FRANCAIS​E

Films Réalisés   5

Patrick Bruel
GILLES

Niels Arelstrup
LUC GE​RMON

Irène Jacob
NANCY FONTAINE

Paul Hamy
JEREMY

Michel Bouquet
MARCEL GERMON

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​SYNOPSIS
Avocat célèbre, Luc Germon pense atteindre la consécration lorsque Gilles Fontaine, l'un des patrons les plus puissants de France, lui demande de prendre sa défense. L’homme d’affaires est soupçonné d'avoir acquis dans des conditions douteuses une magnifique propriété sur la Côte d'Azur, la Villa Caprice. Humilié et furieux de s'être laissé piéger, Fontaine compte sur l'habileté de Germon pour le tirer de ce mauvais pas. Mais une étrange relation de pouvoir s'installe bientôt entre les deux hommes, en principe alliés. Qui prendra l'avantage ?

VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
​Bernard Stora a écrit Villa Caprice avec Niels Arestrup en tête dans le rôle de Germon (chose qu'il n'a pas l'habitude de faire). Le metteur en scène précise : "Il avait la démesure, l’excès, la brutalité et en même temps la douceur nécessaire car Niels peut être aussi absolument craquant. Dans ma tête, c’était lui dès le début, et aussitôt que le scénario a été fini, je le lui ai envoyé."


Pascale Robert-Diard, chroniqueuse judiciaire au Monde avec qui Bernard Stora avait déjà travaillé sur le téléfilm La Dernière campagne (2012), est à l’origine de Villa Caprice. Elle avait été frappée par le suicide, en 2013, d’Olivier Metzner, un célèbre avocat parisien.
Avec Villa Caprice, Bernard Stora a voulu se centrer sur le thème des rapports de pouvoir. Qui le détient, à qui appartient la décision finale ? Qui se croit puissant et n’est finalement qu’un pion dans une partie dont il ignore les règles ?

La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
Dans l’ensemble le film est plutôt bon. Le duo d’acteurs fonctionne bien et les décors sont particulièrement bien trouvés. Mais si l’histoire relate un fait divers politico financier intéressant et intelligible (ce qui n’est pas toujours le cas loin de là), la fin est un peu bâclée. Dommage.
​LA NOTE : 6/10

L’HISTOIRE
Le scenario est asse bon. Disons que les 2 premiers tiers nous font entrer progressivement dans l’intrigue, pour nous laisser nous habituer au contexte, aux enjeux, aux personnages, aux caractères. Mais il est dommage de constater que le dernier tiers, voir le dernier quart précipite un peu  la fin de l’histoire. 
​LA NOTE : 6/10

LE JEU
Le duo Bruel / Arelstrup fonctionne bien, plein de pudeur et de distance qui peut cacher une certaine manipulation dans un monde où l’argent règne. Si Bruel reste dans le classique qu’on lui connait, c’est véritablement Niels Arelstrup qui éblouit. Son jeu est d’une justesse impressionnante et son évolution durant le film est majestueusement tragique. Dommage que les seconds rôles tant en retrait.
​LA NOTE : 7/10

LE RYTHME & LA MUSIQUE
Le film dure 1h45. C’est assez court mais l’essentiel est là. Le film reste réussi mais 15 à 20 minutes de plus, notamment à la fin auraient évité une sorte de précipitation dans le dénouement. Comprendre un peu plus les rouages d’une bonne intrigue apporte toujours un peu plu de plaisir au sectateur, alors pourquoi l’en priver. 
​LA NOTE : 7/10
La musique est signée Vincent Stora. Il s’agit souvent de mélodies au violon pour accompagner la beauté de la villa Caprice et pour appuyer la dramaturgie de la situation ou des relations compliquées de cette affaire politico financière.
​LA NOTE : 7/10

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
Le décor principal est bien entendu la villa Caprice, magnifique et majestueuse, elle trône au milieu d’un vaste jardin qui se jette dans une eau presque cristalline. C’est le château Volterra, du début du 20ème siècle, sur la commune de Ramatuelle qui offre ce décor unique. 
​LA NOTE : 8/10
Pas d'effets spéciaux.
LA NOTE : N/A

La note de sevenart  6.8 / 10

IMDB   5.3 / 10
Rotten Tomatoes   - / 10
AlloCiné   5.6 / 10
Metacritic   - / 10
Vodkaster Télérama  3.4 / 10
Sens Critique   5.6 / 10
Avoir à Lire   - / 10
Ecran Large   - / 10
​
​La moyenne sans 7  5.0 / 10

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Et n’oublions jamais que 
«  Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN