SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Pour son premier long métrage, James Hawes a accumulé les difficultés puisqu’il a tourné en seulement 33 jours, dans deux pays, avec deux équipes différentes ne parlant pas la même langue, et dans deux temporalités distinctes. Il était essentiel d’avoir la même direction artistique pour les deux équipes d’acteurs, quelle que soit l’époque, afin de préserver la fluidité du film tout entier.
Il était fondamental pour l'équipe de tourner dans d’authentiques sites de Prague, y compris sur le quai de la gare même où les enfants ont dit au revoir à leurs familles avant de partir pour l’Angleterre. Au bout de ce même quai se trouve d'ailleurs une statue en bronze de Nicholas Winton, entouré de deux jeunes enfants et d’une valise, qui commémore l’engagement du Britannique.
Tourner dans une partie de la gare très animée de Prague alors que la circulation des trains fonctionnait normalement était un vrai défi. En effet, il s’agissait de dissimuler les éléments de décor contemporains afin d’éviter tout anachronisme, tandis que les techniciens, sous la houlette du 1er assistant réalisateur, pilotaient la mise en place du train à vapeur d’époque et tournaient les prises entre deux annonces par haut-parleur.
Une vie se base sur le livre de Barbara Winton, fille de Nicholas, intitulé If It’s Not Impossible. Avec l'accord de l'autrice, la production a fait appel à la scénariste Lucinda Coxon pour adapter l'ouvrage. Celle-ci a collaboré avec Nick Drake. Ce dernier raconte : "J’étais ravi de participer à ce projet d’autant que mon père et mon grand-père sont tous deux des réfugiés tchèques. J’ai tout de suite été séduit par la perspective d’écrire une histoire qui évoque également mon parcours personnel". En collaborant avec Barbara Winton, les deux scénaristes ont eu accès aux archives et aux lettres de Nicholas.
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La Critique de SevenArt
L'IMPRESSION D'ENSEMBLE
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L'HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DECORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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