UN HOMME EN COLERE
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Dans un souci de réalisme, Guy Ritchie a fait le choix de ne pas beaucoup répéter cascades. Le cinéaste confie : "Nous voulions que le film reste viscéral et réaliste en ce qui concerne le déroulement de l’action et la façon dont les gens se battent. Il ne fallait pas le transformer en une vision imaginaire chorégraphiée à outrance."
Avant le début du tournage, Guy Ritchie a réuni les acteurs pour une répétition en live de tout le film. A l’aide d’un nombre limité de décors et d’accessoires, ils ont joué l’intégralité du long métrage en l’espace de huit heures. Le réalisateur explique : "Nous essayons de créer une feuille de route qui ne soit pas trop définitive. Pendant cette journée, je m’efforce, avec les acteurs, d’améliorer le dialogue ou l’intrigue le plus possible. D’après mon expérience, l’amélioration est généralement de l’ordre de 15 %. C’est un procédé plus difficile pour les acteurs, car ils doivent commencer à apprendre leurs nouvelles répliques rapidement."
Un homme en colère est le remake du Convoyeur. Sorti en avril 2004, le film de Nicolas Boukhrief a très vite tapé dans l'œil des Américains puisqu'un remake avait été annoncé quelques mois plus tard. Mais les choses ont traîné, le projet passant notamment entre les mains de F. Gary Gray puis Josef Wladyka (Narcos). Dans la version de ce dernier, le personnage principal, initialement joué par Albert Dupontel, devait être une femme incarnée par Sandra Bullock.
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