VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
La motivation pour faire ce film a été double et doublement personnelle pour Franck Dubosc. "Un jour, à cause de l’âge et parce qu’elle ne pouvait plus beaucoup se déplacer, ma mère s’est retrouvée dans un fauteuil roulant. Le fauteuil, symbole du handicap, est devenu une solution parce que, enfin, elle allait pouvoir de nouveau bouger, sortir. Mais elle a objecté : « je ne pourrai pas aller au marché de Noël car il faut monter des marches ». Ça a fait tilt. Ce qui semblait une opportunité devenait donc un obstacle. Et j’ai pensé à tous ceux qui, handicapés, sont confrontés à cela. D’autre part, j’ai toujours eu envie de raconter une histoire d’amour qui soit fondée sur la différence non pas culturelle ou sociale mais physique. Il y a une question que je me suis souvent posée, qui m’interpelle : et si tu tombais amoureux de quelqu’un d’handicapé ? C’est une vision du futur un peu compliquée, certes. Est-ce que l’amour serait plus fort que la raison ? Je pense que oui et c’est pour cela que j’ai voulu faire ce film", révèle le metteur en scène.
Le titre, Tout le monde debout, est inspiré d’une bourde du chanteur François Feldman à la télévision durant le 10e téléthon :
"Le titre de travail était « Lève-toi et marche » mais je ne le trouvais pas très gracieux. J’ai effectivement repris ce qu’avait dit François qui est un ami. Tout le monde s’est beaucoup moqué de cette bourde commise devant des gens qui ne pouvaient pas se lever mais je la trouve finalement très positive. Parce que debout c’est dans la tête. D’ailleurs mon personnage le dit en parlant de Florence qui est handicapée : « elle réfléchit plus vite, elle va plus vite, elle vit plus que nous. » Il veut dire : bien plus que moi", analyse Franck Dubosc. |
La Critique de SevenArt
L’HISTOIRE
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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