|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Avec The Passenger, Liam Neeson retrouve le metteur en scène Jaume Collet-Serra pour la quatrième fois après Sans identité (2011), Non-stop (2014) et Night Run (2015). Leur collaboration a surtout été lucrative sur Sans identité (136 millions de dollars de recettes pour un budget de 30 millions) et Non-Stop (222 millions de recettes pour un budget de 50 millions). Night Run avait réalisé le score plutôt décevant de 67 millions de dollars de recettes (pour un budget de 50 millions).
Jaume Collet-Serra voulait que le point de vue narratif de The Passenger soit différent des autres films d'action qu'il a tournés en compagnie de Liam Neeson. Ainsi, le personnage que joue ici l'acteur est "un combattant du quotidien" qui se lève tous les matins pour sauver sa famille et auquel le public peut s'identifier.
Jaume Collet-Serra voit The Passenger comme une sorte de suite à Non-stop. Le réalisateur développe : "Nous voulions un homme normal confronté à un choix moral déterminant : jusqu’où est-il prêt à aller pour de l’argent sans connaître les conséquences de ses actes ? Quand des choses extraordinaires arrivent à des gens ordinaires, la gradation est primordiale. Les premiers choix doivent être évidents pour le public. A sa place, nous aurions fait les mêmes. L’action doit découler de la crédibilité de ces choix."
Comme il était impossible de d’utiliser des gares anglaises en lieu et place des stations new-yorkaises, Grand Central et les stations 86th Street, 110th Street ainsi que 125th Street furent reconstituées à Pinewood. Pour Tarrytown et Cold Spring, des gares du sud de l’Angleterre furent totalement transformées. "Il se trouve que le train de l’histoire passe devant ma maison près de New York. Cela fait donc une vingtaine d’années que je le prends. Et inutile de vous dire que j’en connais le moindre boulon !", s'amuse Liam Neeson.
|
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
L’HISTOIRE
|
LE JEU
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly