SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le scénario révélé par Mark Mallouk et Jez Butterworth s'inspire grandement du livre Black Mass écrit par Dick Lehr et Gerard O'Neill. Ce roman décrit ce que l’on considère comme être l’histoire vraie de l’ascension de Whitey Bulger en tant que grand chef de la mafia irlandaise et expose sa collaboration avec l'agent du FBI, John Connolly.
La vie chaotique du sombre personnage qu’est Whitey Bulger s’est ancrée dans la culture populaire américaine. Plusieurs épisodes lui ont été dédiés dans séries tournant autour du crime comme Brotherhood, Rizzoli & Isles, New York, police judiciaire ou encore Homeland. Un documentaire, Whitey: United States of America v. James J. Bulger lui a été consacré en 2014. Un biopic sur la terreur de Boston avec Ben Affleck et Matt Damon était aussi prévu, mais le projet semble abandonné depuis la production de Strictly Criminal. Enfin, le personnage campé par Jack Nicholson dans Les Infiltrés s'inspire grandement du célèbre mafieux..
Tout le monde a remarqué à quel point Johnny Depp est méconnaissable dans la peau de James «Whitey» Bulger. C'est un certain Joel Harlow (habitué de Scott Cooper) qui a supervisé les maquillages du film.
En ce qui concerne l'aspect capillaire du personnage, le département Chevelure a travaillé à partir des éléments de silicone conçus par Harlow et moulés spécialement pour épouser la tête de Depp. Le perruquier et responsable effets spéciaux Chevelure Khanh Trance a passé beaucoup de temps à fixer des milliers de cheveux, un par un, sur le silicone pour créer l'implantation capillaire et les sourcils du gangster. Chaque élément de silicone ne pouvant être utilisé qu'une fois, l'équipe devait en fabriquer tous les jours. |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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