SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Denis Villeneuve n'a pas pu diriger cette suite parce qu'il était trop occupé à travailler sur Premier contact (2016) et Blade Runner 2049 (2017). C'est un certain Stefano Sollima qui lui succède. Il s'agit d'un réalisateur italien habitué au polar urbain sec et réaliste comme il l'avait montré avec ACAB, qui suivait une brigade policière anti-émeute, mais aussi le film de mafia Suburra et quelques épisodes de la série à succès Gomorra.
Le tournage de Sicario La Guerre des Cartels a débuté par une froide matinée de novembre 2016 dans une maison d’adobe délabrée située sous l’autoroute non loin du centre-ville d’Albuquerque. Au cours des trois mois suivants, la production a posé ses caméras à Albuquerque, la plus grande ville de l’État du Nouveau-Mexique, au coeur de la réserve de To’hajiilee, à Laguna Pueblo, à Bernalillo, à Santa Clara Pueblo, à Belen et à Algodones. Les nombreuses scènes d’extérieur ont souvent dû être tournées de nuit dans un froid glacial puisque l’hiver s’était installé dans les montagnes et les mesas du sud-ouest américain. Le tournage au Nouveau-Mexique s’est achevé à la mi-janvier 2017 pour se poursuivre dans les rues de Mexico jusqu’à la fin du mois. La majeure partie de Sicario La Guerre des Cartels a été filmée en décors réels dans le désert autour d’Albuquerque, au Nouveau-Mexique – 90 % du film se déroulent en effet en extérieur.
Si le premier Sicario avait pour personnage principal la jeune recrue idéaliste du FBI campée par Emily Blunt, la comédienne est absente de ce second volet qui se centre sur l'agent aguerri Matt Graver (Josh Brolin) et surtout Alejandro (Benicio Del Toro), un individu aussi froid que mystérieux qui ne vit que pour s'attaquer aux Cartels.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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