SYNOPSIS
|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Paul Schrader écrit le scénario original mais Steven Spielberg considère qu'une bonne partie du script ne lui convient absolument pas et réécrit totalement le film comme il souhaite le voir. La discorde vient du fait que Schrader souhaitait raconter cette histoire de contact extraterrestre du point de vue d'un militaire proche de la retraite (du genre Kirk Douglas, Burt Lancaster, Henry Fonda ou Richard Widmark), tandis que Spielberg voulait le raconter du point de vue de l'« homme du peuple ». Le scénariste, ayant considéré le script comme « la chose » de Steven Spielberg, refuse d'être crédité au générique et, ainsi, renonce à toucher des pourcentages sur les recettes, ce que Schrader considérera comme étant « la plus grosse erreur de sa vie ».
Pour la scène où Cary Guffey, le jeune acteur incarnant Barry, devait jouer l'étonnement face aux extraterrestres, le réalisateur Steven Spielberg a demandé à deux membres de l'équipe de tournage de se cacher dans des boîtes derrière la caméra, l'un déguisé en clown et l'autre en gorille. Pendant le tournage de la scène, le premier apparut par surprise devant Cary quelque peu surpris, puis le second. Spielberg demanda alors au gorille de retirer son masque, faisant ainsi sourire Cary.
Lorsque les extraterrestres kidnappent Barry par la petite ouverture au bas de la porte d'entrée, Cary Guffey était en réalité tiré par sa mère (on distingue très vaguement le bras de celle-ci dans un coin de l'ouverture).
Pour la séquence du premier contact de Roy Neary avec les extraterrestres (au passage à niveau), le 4x4 était en fait monté sur une grande roue qui effectuait une rotation pour simuler l'envol des affaires de Neary sur le tableau de bord (on observe par ailleurs que, sous l'effet de la rotation de la roue, Richard Dreyfuss recule un peu sur son siège).
|
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
L’HISTOIRE
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly