READY PLAYER ONE
|
Films Réalisés 39 dont ARRÊTE-MOI SI TU PEUX (2002), LE TERMINAL (2004), MUNICH (2005), LA GUERRE DES MONDES (2005), INDIANA JONES ET LE ROYAUME DU CRANE DE CRISTAL (2006), LES AVENTURES DE TINTIN : LE SECRET DE LA LICORNE (2011), LINCOLN (2011), LE PONT DES ESPIONS (2015), LE BON GROS GÉANT (2015), PENTAGON PAPERS (2017) |
SYNOPSIS
|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Ready Player One est l'adaptation du best-seller écrit par Ernest Cline publié en 2011 dans 58 pays et traduit dans 37 langues. Dans l'histoire, bourrée de références à la pop-culture, il est grandement question des oeuvres de Steven Spielberg. Ce dernier, par souci d'humilité, a déclaré qu'il préférait retirer toutes mentions de ses films dans son adaptation. Et pourtant, pour l’auteur, Steven Spielberg est l'une des plus grandes sources d’inspiration de son roman. "Il est difficile d'évaluer l’influence considérable de l’oeuvre de Steven Spielberg sur ma vie et mes centres d'intérêt, mais je n’aurais pas pu écrire 'Player One' si je n’avais pas vu tous ses films quand j'étais gamin. Comme pour tous ceux qui se sont passionnés pour le cinéma dès l’enfance dans les années 1970 et 80, son oeuvre coule dans mes veines. Ses films ont fini par inspirer de nombreux aspects de l'intrigue et de mon style de narration, et on en trouve des indices évidents tout au long du livre."
Ready Player One contient de nombreuses références à la pop culture des années 80 et 90. On peut notamment citer Tron, Akira, Le Géant de fer, Le Seigneur des anneaux, Retour vers le futur, Les Griffes de la nuit, Tomb Raider ou Duke Nukem.
La quasi totalité des références évoquent l’atmosphère d’une époque bien spécifique à laquelle Ernest Cline est très attaché : les années 1980. Il s'explique : "James Halliday (Mark Rylance) a conçu son jeu à partir de ses goûts, et ça m’a beaucoup enthousiasmé parce que je me suis dit que ses passions pouvaient refléter les miennes. Les années 1980 ont été les plus marquantes de ma vie parce qu’elles correspondent à mon adolescence."
"C’est à cette époque que j’ai reçu ma première console de jeux vidéo et mon premier ordinateur. On était à l’aube d’Internet. Je me suis demandé si le livre n’allait plaire qu’aux gens de ma génération nostalgiques des années 1980. Mais ça n’a pas été le cas, parce qu’il parle aussi de notre mode de vie actuel. La plupart d’entre nous avons deux identités : une dans la vie réelle, et une sur le web, sur les réseaux sociaux. Et un peu comme les avatars dans le livre, on peut modeler cette identité virtuelle de façon à ce qu’elle corresponde à l'image qu'on veut donner de soi." |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
L’HISTOIRE
|
LE JEU
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly