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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
SRapt s'inspire de l'affaire de l'enlèvement du Baron Empain, homme d'affaire belge, patron d'un groupe industriel, qui fut victime d'un kidnapping en 1978. Il fut libéré après 63 jours de détention. A propos de la genèse du projet, le cinéaste se souvient : "Il y a quelques années, j'ai vu un reportage à la télévision dans lequel le baron Empain racontait son aventure. C'était extrêmement troublant et fort. J'y ai repensé régulièrement, avec toujours une envie intacte de faire un film autour de cette histoire-là (...) En fait, c'est l'histoire d'un homme qui a tout, pour lequel tout va bien et qui, tout à coup, se rend compte qu'il n'est pas ce qu'il croit être. Qu'il peut tout perdre d'une minute à l'autre. N'être plus rien. L'autre aspect passionnant de cette affaire, c'est qu'elle ne finit jamais. Après la fin du cauchemar de la captivité, c'est le cauchemar du retour. La façon dont le baron Empain était très impressionnante."
Yvan Attal a perdu 20 kilos pour les besoins du rôle. L'acteur revient sur cette expérience éprouvante :
"J'ai perdu mes kilos en deux mois. Bien qu'étant suivi médicalement, je me suis rendu compte que, dans ma vie de tous les jours, je n'avais plus aucune énergie (...) Je pesais 53 kilos, la dernière fois que cela m'était arrivé je devais avoir 14 ans. Pendant ce type de régime, vous vous isolez. Vous pesez chaque aliment, vous ne sortez plus, vous mangez tout seul parce que vous évitez d'avoir des envies alimentaires face aux repas des autres y compris avec vos enfants. Je ne cuisine pas mais je me suis mis à préparer mes repas et à faire mes courses moi-même. Je devenais très pointilleux, un peu chiant, j'étais irrité pour n'importe quel motif parce que je ne mangeais pas assez." |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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