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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Rampage - Hors de contrôle est l'adaptation du jeu d'arcade Rampage, édité en 1986. L'équipe du film a repris le concept de départ qui met en scène trois créatures titanesques qui dévastent des villes entières sur leur passage. Le réalisateur Brad Peyton confie : "Ce qui m’intéressait, c’étaient les défis et les possibilités que recelait le jeu. Le fait que la trame narrative soit si peu développée nous a permis de nous approprier le concept, de créer nos propres monstres, d’aborder les sujets qu’on voulait. On a rendu hommage au jeu avec humour et respect, en mettant en scène ces créatures et en dissimulant quelques 'Easter eggs' pour les fans."
Le producteur Beau Flynn affirme que Rampage - Hors de contrôle se distingue des autres films du même genre en mettant en scène un héros, Davis Okoye, qui ne cherche pas seulement à affronter des créatures monstrueuses mais aussi à protéger l'une d'entre elles (en l'occurrence le gorille George dont il prend soin depuis sa naissance) : "En d'autres termes, la plupart du temps, le héros cherche à terrasser la bête, alors qu’ici il essaye de la sauver. Davis sait bien que George n’est pas responsable de ce qui lui arrive. Non seulement il veut lui sauver la vie, mais il pourrait bien avoir d’ailleurs besoin de son aide lors d’un affrontement final titanesque avec les monstres. C’est pour moi une perspective tout à fait novatrice et stimulante."
Rampage - Hors de contrôle met en scène un complot visant à utiliser l’ADN comme une arme destructrice. Si le film se permet une certaine licence artistique, le système CRISPR d’édition génétique auquel il est fait référence est bien réel. Élaboré en 1993, son objectif est de soigner le cancer ainsi que d’autres maladies en modifiant le code génétique d’un organisme.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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