|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Alan Rickman eut quelques difficultés pour le tournage des scènes les plus mouvementées. Incapable de s'empêcher de sursauter quand il devait utiliser une arme à feu, il obligea John McTiernan à réduire au maximum la longueur des plans de face où l'on peut le voir tirer. Mais aussi, pour obtenir un air de surprise plus convaincant, McTiernan le lâcha plus tôt que prévu de la plate-forme sur laquelle était jouée la chute de son personnage; l'initiative ne fut pas spécialement appréciée par l'acteur.
Quand Hans Gruber fait référence à Grace Kelly et John Wayne (ce à quoi McClane réplique qu'il s'agit de Gary Cooper), il s'agit d'une référence au mythique western de Fred Zinnemann, Le Train sifflera trois fois.
Le scénario de Piège de cristal est adapté du roman de Roderick Thorp Nothing Lasts Forever. L'auteur avait déjà été adapté à l'écran avec Le Détective, où l'on retrouvait Frank Sinatra et Lee Remick.
L'immeuble Nakatomi est en réalité le siège de la 2Oth Century Fox à Los Angeles. Encore en travaux à l'époque il n'a cependant pas été véritablement détruit par les explosions. Celle ou le personnage de Bruce Willis rase un étage entier a été réalisée en illuminant l'étage avec un grand nombre de flashs extrêmement puissants et en superposant l'image avec celle de la destruction d'une maquette noire de l'immeuble.
Au début du film, lorsque John McClane (Bruce Willis) descend de l'avion, il tient dans ses bras un ours en peluche affublé d'un noeud papillon rouge. C'est également un ours en peluche portant un noeud papillon rouge qu'on a pu voir aux côtés d'un Jack Ryan (Alec Baldwin) assoupi dans un avion à la fin d'A la Poursuite d'Octobre Rouge, film que le réalisateur John McTiernan réalisera deux ans plus tard.
A l'origine, il fut question d'une suite au Commando (1985) avec Arnold Schwarzenegger se basant sur le roman Nothing Lasts Forever écrit par Roderick Thorp en 1979. Le héros de cet ouvrage, flic de profession, rendait visite à sa fille sur son lieu de travail, à la Klaxon Oil Corporation. Mais comble de malchance, une bande de terroristes allemands faisait irruption dans l'immeuble et prenait en otage l'ensemble du personnel. Seul contre tous, notre policier qui ne pensait qu'à se détendre va se retrouver contraint de reprendre du service
|
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
L’HISTOIRE
|
LE JEU
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly