SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
C'est pendant le confinement que Frédéric Quiring a eu l'idée du scénario de Notre tout petit petit mariage. Le réalisateur se rappelle : "Étrangement c’était un moment où on n’avait pas le droit de voir nos parents, nos amis, de faire la fête, de se marrer – et tout à coup, dans ce contexte, j’ai eu envie de faire un film sur une gigantesque fête qui réunirait tous ces gens-là. J’en ai parlé à mon producteur Mikaël Abecassis qui m’accompagne depuis mes débuts, d’autant plus que je savais qu’il voulait produire un film de mariage depuis longtemps. On s’est alors dit que c’était l’occasion idéale."
Frédéric Quiring a opté pour un dispositif de found footage. Le metteur en scène s'y est intéressé pendant le tournage de La Très très grande classe où il a constamment dû réinventer la mise en scène avec beaucoup de machinerie. Il se souvient : "Pourtant, la bagarre de la fin avait été entièrement filmée à l’iPhone et j’avais ressenti un tel sentiment de liberté que j’ai voulu appliquer ce dispositif à un film tout entier."
"Notre tout petit petit mariage est un peu le film souvenir que des témoins ou des amis des mariés pourraient tourner sur un mariage. Et dans le même temps, la présence de la caméra met une vraie pression sur les protagonistes : elle accentue le malaise et les tensions. Cela place aussi le spectateur dans une posture de voyeur et lui donne le sentiment d’assister à des scènes auxquelles il ne devrait pas assister."
Notre tout petit petit mariage comporte de nombreux figurants et de scènes complexes. Frédéric Quiring a ainsi beaucoup préparé le découpage en amont. Pendant le tournage, le cinéaste voulait que l’ambiance soit un "bordel organisé". Il confie : "Je me suis amusé à choisir deux ou trois invités dans l’assemblée en leur donnant un iPhone et en leur confiant la mission de s’éclater et de filmer des choses comme s’ils étaient conviés à un vrai mariage."
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La Critique de SevenArt
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
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« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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