NO PAIN NO GAIN
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le film s'inspire d'articles écrits par un journaliste du Miami New Times, Pete Collins, sur l'histoire vraie de bodybuilders devenus criminels, et d'un ouvrage qu'il a écrit à propos de leur bande. Deux membres du gang des "Sun Gym", Daniel Lugo (interprété par Mark Wahlberg) et Adrian Doorbal (joué par Anthony Mackie), sont toujours dans le couloir de la mort en Floride. Parmi les acteurs, seul Dwayne Johnson, qui vit à Miami et y habitait à l'époque, avait entendu parler du fait divers. La plupart des comédiens n'a d'ailleurs pas voulu croire, dans un premier temps, qu'il s'agissait d'une histoire vraie !
Le projet No Pain No Gain est en chantier depuis plus de 10 ans. Ce sont les scénaristes, Christopher Markus et Stephen McFeely, qui ont découvert en l'an 2000 les articles écrits en 1999 par Pete Collins sur l'affaire. Dès lors, ils ont tenté de soumettre leur idée à Hollywood, essuyant de nombreux échecs. Puis, Michael Bay, qui vit plusieurs mois par an à Miami, s'y est intéressé. Après un long travail sur le script, une distanciation par rapport à l'histoire originale et aux familles des protagonistes, il a encore fallu attendre plusieurs années avant que Bay obtienne un deal avec des producteurs, après le tournage de Transformers 3. Et c'est donc 13 ans après avoir été initié que le film a enfin vu le jour.
Michael Bay, qui vit à Miami une partie de l'année, a, comme le précise Mark Wahlberg, "beaucoup d’influence dans cette ville", ce qui lui a permis d'obtenir des autorisations pour le tournage plus aisément. "Il a réussi à faire bloquer la circulation sur sept ou huit kilomètres, dont une portion complète d’autoroute où j’ai pu conduire une Lamborghini aussi vite que je le voulais. Je crois qu’à un moment j’ai approché les 250 km/h, mais je me sentais en sécurité. La voiture était en parfaite condition et il n’y avait aucun autre véhicule, juste une route ouverte à perte de vue", raconte le comédien.
Michael Bay a laissé ses acteurs prendre de la liberté avec le texte, et a notamment permis à Ken Jeong, qui est issu du stand-up, d'improviser avec son partenaire Mark Wahlberg, ce à quoi les deux hommes ont pris beaucoup de plaisir :
"J’ai vraiment pris mon pied dans les parties improvisées avec Mark Wahlberg (...). Il y a cette scène où je suis sur une chaise et où je le fixe en lui demandant ‘Qu’est-ce que tu veux faire quand tu auras grandi ?’. Et sur une prise, il a eu ce cri du coeur : ‘Je veux être comme toi, Johnny Wu’ ! Et on aurait dit un môme de cinq ans !… On a dû couper la scène tellement je me marrais", révèle Jeong. |
La Critique de SevenArt
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
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« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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