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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Jake Gyllenhaal a perdu 9 kilos pour son rôle. Ce n'est pas la première fois que l'acteur joue avec son poids puisqu'il avait par exemple pris plusieurs kilos de muscles pour les besoins de Jarhead, dans lequel il campait un soldat.
Scénariste de profession, Dan Gilroy a signé entre autres les scripts de Jason Bourne: L'héritage réalisé par son frère Tony Gilroy et du film de science-fiction Real Steel avec Hugh Jackman. Avec Night Call, le scénariste passe pour la première fois derrière la caméra.
C'est le compositeur James Newton Howard qui se charge de la bande originale de Night Call. Ce dernier est le compositeur attitré du réalisateur M.Night Shyamalan (Sixième Sens, Incassable, Le Village) et a récemment signé les compositions des quatre Hunger Games.
Depuis l'échec commercial du blockbuster Prince of Persia: les sables du temps, l'acteur Jake Gyllenhaal semble privilégier un cinéma plus "adulte" et cérébral. En effet, après avoir joué dans les thrillers sombres de Denis Villeneuve (Prisoners et Enemy), l'acteur confirme sa nouvelle orientation de carrière avec ce rôle de journaliste cynique et immoral dans Night Call.
Dan Gilroy et son chef opérateur Robert Elswit ont cherché à donner à la ville une identité particulière. Les deux hommes voulaient faire ressortir le côté sauvage de Los Angeles et traduire son immensité à l’écran : "Robert Elswit a privilégié les objectifs grand-angle et une palette de couleurs vives pour traduire la vision de Dan Gilroy considérant Los Angeles comme une oasis dans le désert, où l’homme est un intrus."
Dan Gilroy et son équipe ont tourné Night Call dans la ville de Los Angeles et la plupart du temps entre minuit et 6h du matin. Un rythme de travail extrêmement fatiguant pour l’équipe et les acteurs. Néanmoins, le comédien Jake Gyllenhaal reconnait avoir été inspiré par le fait de tourner la nuit : "Je me suis mis à moins réfléchir et à laisser mes émotions prendre le dessus. Je crois vraiment que nos émotions et les événements qui surviennent sur un plateau finissent par se retrouver à l’écran." |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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