SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Ce qui a le plus motivé Christian Clavier dans ce projet provient du fait de pouvoir former un duo avec Benoît Poelvoorde. Il explique : "Par le passé, j’ai adoré travailler avec Jean Reno ou Gérard Depardieu et plus loin encore j’ai fait partie de la troupe du Splendid. Là, je voulais absolument tourner avec Benoît Poelvoorde qui me fait énormément rire ! Donc tout le film est en fait bâti autour de cette rencontre de cinéma avec lui… Ensuite, je suis en effet allé chercher ce personnage d’enquêteur, sorte de fils naturel de Clouzeau et de Maigret, avec l’idée de le faire évoluer dans l’univers des années 70."
Le chef décorateur Maamar Ech-Cheikh et son équipe ont totalement reconstruit l’intérieur de la villa de Saint-Tropez en studio pour la rendre plus pratique pour le tournage. "Je peux vous dire que faire les choses avec cette envergure là et ce luxe de détails, ce n’est pas de la demi-mesure ! On est vraiment dans le cinéma et dans ce qui a donné envie à des gamins comme moi d’en faire... C’est ce que j’appelle « l’académique », cet art qu’ont exercé nos pairs avant nous...", se souvient Nicolas Benamou.
Côté références, Nicolas Benamou avait en tête les films de Blake Edwards comme la série de La Panthère rose ou La Party. Toutefois, le réalisateur précise :
"Il ne s’agissait pas de faire une copie et de conserver tout l’esprit des films de Christian Clavier et Jean-Marie Poiré... Nous nous sommes donc réimprégnés de ces codes pour mieux les abandonner. Si vous revoyez aujourd’hui La Panthère rose, vous trouverez ça toujours aussi dément mais aussi un peu lent... Nous, nous voulions faire clairement un film moderne, parce que désormais, la cadence des plans, leur découpage, a énormément évolué. Et d’ailleurs la démarche même de Christian, qui a souhaité faire appel à moi pour réaliser le film, va tout à fait dans ce sens-là..." |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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