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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
My beautiful boy est adapté des mémoires Beautiful Boy: A Father's Journey Through His Son's Addiction de David Sheff et Tweak: Growing Up on Methamphetamines de Nic Sheff. En 2005, David Sheff a écrit un article intitulé "My Addicted Son" pour le New York Times Magazine. Il y racontait avec une sincérité poignante le combat de son fils, Nic Sheff, contre l’addiction aux drogues comme la méthamphétamine, et ses propres efforts pour tenter de sauver sa famille – également composée de sa deuxième femme, Karen, et de leurs deux jeunes enfants. Un calvaire qui a duré près de dix ans. Deux ans plus tard, le producteur Jeremy Kleiner, de Plan B Entertainment, a découvert que David Sheff avait écrit un livre sur les dix années de combat de son fils intitulé "Beautiful Boy", tandis que Nic racontait ces mêmes années dans sa propre autobiographie, "Tweak". Publiés simultanément, ces deux récits dressent le portrait d’une famille dans la tourmente. Après les avoir partagés avec ses partenaires au sein de Plan B, les producteurs Dede Gardner et Brad Pitt, Jeremy Kleiner leur a soumis une idée singulière : associer ces ouvrages en un film encore plus éloquent.
Felix van Groeningen est l’auteur de cinq longs métrages en flamand, dont Belgica qui lui a valu le Prix du meilleur réalisateur dans la catégorie film dramatique international au Festival du film de Sundance 2016, et La Merditude des choses, sélection officielle de la Belgique pour l’Oscar du meilleur film étranger 2010. Au moment où son quatrième opus, le poignant drame familial Alabama Monroe, a été nommé à l’Oscar du meilleur film étranger 2014, Felix van Groeningen était devenu un réalisateur de renommée internationale et un habitué des festivals. My beautiful boy est son premier film américain
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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